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ANVEDJ - Page 66

  • Carrière politique et système financier

     

    Carrière politique et système financier

         Les carrières actuelles des hommes politiques sont tributaires de leurs moyens financiers. Pour un MANDELA, il existe des centaines d'États dans le monde et des milliers d'individus qui choisissent de faire carrière dans la politique. Pour un MANDELA, des centaines de dictateurs, des milliers de petits chefs agissent tous les jours au détriment des populations. Et ces milliers d'individus ont en commun leurs besoins financiers pour asseoir leur carrière. À leurs côtés des milliers d'autres individus manipulent des chiffres et des carrières dans le but d'asseoir leurs revenus financiers à court et à moyen terme, soit quelques mois et quelques années, au pire quelques décennies. Ce petit monde parasite donc la planète pour vivre sur le dos des milliards d'individus qui la peuplent. S'il se contentait de vivre bien sans modifier l'ordre des choses et la vie de tous les jours, cela serait supportable, mais ce n'est pas le cas, il leur faut le plus de revenus possible, le plus vite possible, les conséquences humaines n'ont aucun « intérêt !! » Le résultat est évident : des catastrophes en veux-tu, en voilà, puisque c'est en ruinant le plus d'individus possibles qu'ils pourront s'attribuer leurs droits et leurs biens. La spéculation et les manipulations de cours sont un petit jeu pas très malin qui permet de se cacher derrière des «dettes » que l'on a créées, derrière des richesses fictives, derrière des rachats à l'encan, mais aussi des chômeurs, des émeutes de la faim, des famines, des bidonvilles, des victimes qui ont pourtant fait tous les efforts possibles pour avoir droit à une vie ordinaire. Ces gens ont payé leurs impôts, participé aux élections, accepté les hausses de prix, subi les fluctuations boursières, perdu leur emploi délocalisé, ….

         Il est temps de faire tomber les masques et de constater les conflits d'intérêts et les délits d'initiés permanents commis par les politiques et les financiers de nos États, un apartheid qui n'a pas d'odeur, pas de couleur, puisque l'argent est leur credo. Lorsque certaines carrières se font de cabinets d'affaires en participation aux gouvernements, puis dans les instances internationales publiques, il est évident que la vie d'un SMICARD grec n'a pas de sens pour eux. Il est rare de constater qu'un homme politique soit issu d'un milieu modeste et qu'il y retourne au gré des combats politiques locaux. Car, celui qui est capable de faire carrière est de suite pris en charge par les directions politiques ou financières afin d'exploiter ses capacités et priver le citoyen ordinaire des services qu'il pourrait lui rendre. Pour preuve, ceux qui s'occupent d'aide sociale et veulent continuer, même lorsqu'ils deviennent des personnalités, se heurtent systématiquement aux puissants qui prétendent défendre un droit qui n'est que celui des nantis et non l'intérêt général réel. Tous ces gens cherchent seulement une majorité dans les urnes pour justifier leurs revenus et leurs carrières, celui qui n'a pas ce type de valeurs est considéré comme dangereux et « malade ». Combien d'États ont utilisé la psychiatrie pour protéger les errements de leurs classes dirigeantes !! Combien d'États sont passés d'une dictature de droite à une du centre avec les mêmes classe dirigeantes. C'est ce comportement que les révoltes actuelles dénoncent, il est inutile de changer les dirigeants si le pillage par le biais des systèmes financiers continue à empirer. Le nombre de victimes va encore augmenter, puisque la course folle continue.

         Comment faire admettre que le fait de fournir des moyens de pensée et de réflexion au plus grand nombre impose de respecter les grands principes des Droits de l'Homme et du Citoyen. Il est fini le temps des activités réservées à certaines élites, il n'y a plus d'intouchables piégés par leur condition, il faut donc respecter les droits de chacun relevant de la Fraternité et de la Solidarité avant de s'occuper de défendre la richesse de quelques uns. Celui qui prétend valoir des millions quand celui qui lui apporte des revenus meurt de faim n'est qu'un menteur, un voleur, et un escroc. Le temps montre assez à travers l'Histoire que les grandes fortunes ont toujours à un moment donné exploité une partie de l'Humanité. D'autres solutions auraient été possibles, que des politiques et des financiers ont volontairement écartées, ce qui prouve bien la main mise sur notre organisation sociale par des groupes aux objectifs malheureusement simplistes et même capables de tuer la poule aux œufs d'or de notre société technicienne.

         Nous devons donc imposer une meilleure rotation des fonctions publiques, de telle manière que tout citoyen puisse bénéficier de ses avantages et de ses inconvénients, veiller à ce que les abus d'autorité soient toujours sanctionnés, et remettre en permanence ceux qui se croient importants au niveau des actes qu'ils ont réalisés et des services rendus à tous.

    Nous sommes fatigués des décisions qui déshabillent Pierre pour habiller Paul au prix d'une commission injustifiée, puis font l'inverse, toujours moyennant finance et laissent Pierre et Paul mourir de faim dans une banlieue insalubre.

     

  • Fukushima, Mururoa, Tchernobyl, Los Alamos, ...

     

    Fukushima, Mururoa, Los Alamos, Reggane, Tchernobyl, Mourmansk, …

         Chacun de ces noms évoque une zone de contamination nucléaire, dont les observations seraient sources de progrès pour notre avenir et notre « bien-être ». En fait, les zones contaminées sont de plus en plus nombreuses, et les fortunes qui se sont construites sur ces abominations de plus en plus importantes.

         Les catastrophes humaines qui accompagnent ces lieux sont pourtant de simples curiosités et des objets de laboratoires pour des chercheurs qui y trouvent des budgets par milliards et des sujets permettant de faire carrière.

         Les victimes se comptent par centaines de milliers, et même certainement par millions, puisque tout est fait pour qu'il ne soit pas possible de les rapprocher et de faire des analyses sérieuses. Car il faut rajouter les victimes des munitions à uranium apprauvri, les victimes des dépôts camouflés qui émettent des radiations sans contrôle, les victimes de l'entretien courant des installations (personnels temporaires renouvelés sans contrôles), les victimes des recherches (soldats au Sahara, en Irak, au Kosovo, en Libye, en Afghanistan, ...)

         Pour ordonner de telles actions qui détruisent autant ses propres populations que les adversaires, quel peut être le ressort psychologique en œuvre ? À part l'orgueil de l'apprenti sorcier, je ne vois rien. Rien au monde ne peut justifier de continuer à détruire l'environnement humain avec autant d'acharnement, quel peut être l'intérêt de payer des impôts pour de tels services, puisque dans tous les cas de figure, il y a toujours des pouvoirs publics derrière le nucléaire.

         Il ne doit plus y avoir de personnalité charismatique sur notre planète, seulement des pouvoirs politiques aveugles et irresponsables, puisqu'aucune voix ne s'élève pour dénoncer ces actes irresponsables. Nos financiers qui cherchent des sociétés sans usines et sans travailleurs pensent peut-être déjà par ce moyen à se débarrasser de ce « populo » qui réclame des droits et veut contrôler les pouvoirs.

         Ne continuons pas à faire des constats, ils ne feront que nous démoraliser, nous devons nous tourner vers l'action constructive tant que notre capacité physique nous le permet ; nos héritiers prendront le relais, car c'est ce qui fait que la vie vaut d'être vécue : créer des conditions pour que la vie humaine se perpétue. La première chose est de mettre en évidence que de nombreux dirigeants cachent la réalité, et que, ce faisant, ils se mettent hors la Loi de leur propre pays. Des États comme les pays de l'Europe, mais aussi en Amérique, au Japon, trichent sur les données publiées, les recoupements des rapports disponibles doivent donc conduire à montrer du doigt les erreurs. Ces erreurs doivent conduire ceux qui les font à quitter toute fonction scientifique ou élective sous la pression des poursuites pour faux qui les rend inéligibles et interdits. Il semblerait d'ailleurs que le nucléaire soit lié à de nombreuses affaires de corruption passive ou active.

    Les responsables de ces actes doivent se heurter au refus d'investiture des populations, à l'obligation de rendre des comptes (y compris de payer des amendes lourdes pour faux et usage de faux).

         Dans le monde scientifique, les chercheurs doivent refuser de continuer à fournir des outils de destruction massive, dont l'usage ravale les gaz de la guerre de 1914-18 au rang de hochet pour apprenti. La recherche et l'usage doivent faire l'objet d'interdiction avec inculpations devant les instances judiciaires internationales. Car le Tribunal Pénal International doit pouvoir poursuivre les officiers supérieurs de tous les pays, y compris chez les vainqueurs, sinon le principe de la conquête militaire ne sera jamais aboli. De la même manière que les victimes des famines doivent voir ceux qui s'opposent à leur sauvetage montrés du doigt et poursuivis.

     

    Que vous soyez croyant ou pas, détruire des hommes n'est pas une solution viable pour assurer l'avenir de l'Humanité. Ceux qui préconisent de tels actes doivent rendre des comptes, et l'éducation doit évoluer pour éradiquer de tels méthodes.

  • Conflits d'intérêts, tricheries, administrations

     

         Ce n'est pas d'aujourd'hui que les victimes subissent les mensonges de leurs boureaux, beaucoup moins courageux lorsqu'il s'agit d'assumer devant la société les conséquences réelles de leurs actes. La violence active, mais aussi passive sont des méthodes courantes, dont le but est de permettre de cacher la réalité, en imposant le silence. Si personne ne se plaint, c'est qu’il ne s'est rien passé. Cela a permis l'esclavage, mais c'est aussi la source de bien des droits coutumiers issus du poids de l'Histoire. La tradition a surtout été imposée par la loi du plus fort, ce n'est donc pas la meilleure source de principes juridiques fiables.

          Il y a de ce fait souvent contradiction entre les principes inscrits dans les Droits de l'Homme et les réalités vécues par les citoyens tous les jours. Il suffit de voir les difficultés à faire reculer les « tolérances » des polices, qui ont une toute autre vision de la vie que ne l'ont les législateurs.

    En France, une méthode de base reste l'intimidation, en raison de la centralisation administrative qui ôte tout recours au citoyen face à la toute puissance de l'État.

         Force est de constater qu'il a fallu l'Europe pour faire admettre que la Justice à la française était pour le moins source d'iniquités. Malgré ces constats, le fonctionnement ne s'améliore pas, la population n'a toujours pas accès aux services judiciaires, de manière indépendante et impartiale. Cette situation extrêmement préoccupante devient intolérable lorsque les faits aboutissent à la mise en cause de fonctionnaires « disposant de relations ». En effet, le « système » fait que toutes les enquêtes et les moyens de contrôle sont concentrés entre les mains de quelques services, dont certains éléments servent de filtre. Le préfet coordonne, puis remet au parquet les éléments recueillis. Il n'y a pas besoin de faire un dessin pour comprendre que le citoyen n'a aucun moyen de remettre en cause les rapports issus d'un tel réseau.

         Et au cas où des preuves extérieures apparaîtraient, les services de « l'aide aux victimes » se chargeront de vous remettre dans le droit chemin. Les Associations d'Aide aux Victimes vous expliquent comment vous devez vous en remettre aux réseaux en place, et si l'affaire est trop scandaleuse, et qu'il y a une bavure, les haut-fonctionnaires ont tôt fait en tant que responsables de ces associations de recadrer tout le monde. L'INAVEM peut même vous expliquer que les plaintes contre des fonctionnaires ne sont pas recevables. La CADA peut vous préciser que les documents judiciaires ne sont pas des documents administratifs. J'oublie ce que peuvent faire les services du style « renseignements » qui expliquent « qu'un accident est si vite arrivé », sans compter la multiplicité des cas d'incompétence lorsque la loi est invoquée par le citoyen.

        Bref, l'administration pratique le conflit d'intérêt et le délit d'initié en permanence, ce qui implique de se poser des questions sur l'usage réel des fonds publics. Il n'est pas admissible que le citoyen n'ait aucun outil pour vérifier que les problèmes subis par tel ou tel citoyen n'ont pas été résolus, et qu'en plus, il ait été l'objet de brimades.

    Les cellules dites « psychologiques » nous semblent donc par nature « douteuses » puisqu'elles reçoivent des instructions directement des préfets, et que cela permet plutôt d'accompagner les victimes dans un système de pensées que l'on s'efforcera de contrôler, afin qu'il ne nuise pas aux images que l'on veut véhiculer. De plus, c'est pratique, puisque celui qui réagit mal peut toujours être déclaré bon à interner, parce que le choc psychologique l'a « dérangé ».

    Il faut donc des concours de circonstances mettant en avant de nombreux témoins de métiers différents pour que l'État français accepte de constater une situation (voir l'affaire d'Outreau), mais de là à se remettre en cause !!!

         Ceci n'est certainement pas l'exemple d'une démocratie, il faut donc que les instances européennes acceptent de recevoir beaucoup plus de demandes d'aides et de contrôles au sujet de ce qui se passe en France. Les statistiques sur les moyens judiciaires, les méthodes de travail qui apparaissent à travers les organigrammes, le nombre de dossiers douteux recensés et publiés sous le manteau, les nombreux « suicides » incompréhensibles (parcequ'impossibles d'après les constats !), la multitude de problèmes créés par la corruption passive, ou même active, l'opacité des rapports financiers, sont autant de preuves que les appels à l'aide doivent être entendus.

         Certaines associations internationales se contentes de lister les associations, de répertorier les textes de loi, de comptabiliser les réceptions auxquelles elles sont invitées pour juger de la situation des victimes, elles ne font que servir d'alibis à des politiques corrompus qui les manipulent et nous ruinent. Nous demandons donc avec insistance que des services dépendant de la justice européenne soient accessibles aux citoyens français pour venir constater les faits lorsque les preuves sont flagrantes. De nombreux cas seraient vite résolus si le refus d'accès aux documents était impossible. Ces cas permettraient de montrer du doigt les abus d'autorité, les ingérences de l'exécutif, et obligerait à remettre à plat le fonctionnement des pouvoirs.

    Ce qui est navrant pour une victime, et combien sont dans ce cas !, c'est de constater qu'une affaire qui a débuté il y a plus de vingt ans a pu voir passer des ministres de tous les bords politiques. Rien n'a bougé, quelles que soient les demandes et les destinataires. Il faut donc que des solutions viennent de lieux où les gens acceptent d'entendre des faits qui choquent, acceptent d'en vérifier l'existence, acceptent de remettre en cause des administrations, acceptent de s'opposer à des groupes qui se croient tout permis.