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déontologie

  • Une stature d'Homme d'État

    Promouvoir le respect de Droits de l'Homme suppose une volonté et une conviction qui dépasse les capacités de nos actuels hommes d'état.

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  • Tout est permis

    L'abus d'autorité, une plaie purulente sur le tissu social !

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  • Du respect de la Loi

    S'il y a bien un concept à géométrie variable, c'est celui-là. Qui plus est, les méthodes pour y échapper sont pléthore. Qui ne connaît pas :
    « Pas vu, pas pris » !!! …
    « Ma main droite ignore ce que fait ma main gauche »,
    « L'optimisation fiscale est l'art de savoir exploiter les niches »,
    « En affaire, il n'y a pas de morale, »
    « Interdire aux autres ce que l'on se permet »,
    « Derrière les volets clos », …
    « Régler les affaires entre gens concernés, en petit comité »,  ….. sans compter le jésuitisme, et ses multiples méthodes de décalage, qui a son équivalent dans bien d’autres pensées.

    Puis il y a la « déontologie », ce qui devrait être inutile si nous avons tous les mêmes valeurs !
    Il y a les juridictions spécialisées, sur lesquelles il est inutile d'épiloguer !!!
    En fait, il y a autant de manières de se référer à la Loi qu'il y a de catégories sociales, professionnelles, de races, de civilisations, de religions.

    Or, une Loi se devrait d'être rédigée de telle manière qu'elle impose un comportement respectueux de principes nécessaires à la survie de l'espèce humaine et à sa nécessaire adaptation au temps, dont il est sûr qu'il est fluctuant à l'échelle des ères géologiques.

    Chaque pays édicte ses lois, mais leur origine reste souvent liée à des conditions historiques « aléatoires ». Chez les uns, c'est une religion qui sera à l'origine de l'organisation, chez d'autres ce sera le résultat de la prééminence d'un groupe social sur les autres : castes, noblesse, apartheid, …
    Chez les autres, ce sera le résultat des besoins financiers des gouvernants, chez d'autres enfin, ce sera la conception des échanges, …. Toujours le système social résulte de la prééminence d’un groupe sur d’autres. Les autres organisations connues - partage, gestion collective, don, matriarcat, ... - ne concernent que des groupes comprenant peu d’individus et qui n’ont pas de volonté hégémoniques. Tous les systèmes sont antagonistes, ceux qui semblent équilibrés restent tribaux. Sont-ils adaptés à l’évolution, qui va vers toujours plus de complexité ?
    Les sociologues et les ethnologues peuvent nous apprendre bien plus sur les techniques d'élaboration des règles de fonctionnement des groupes. Tant que les groupes restent indépendants ou isolés, ils peuvent garder leurs règles et juger en interne des méthodes à appliquer pour les respecter.
    La grande révolution de notre époque est la possibilité offerte à tous les humains d'accéder au savoir et à l'information. Les affaires des États deviennent les affaires de tous, et ceux qui veulent continuer à diriger sans rendre de comptes sont obligés de devenir des dictateurs sanguinaires, puisque seule la disparition de leurs opposants peut faire cesser la contestation. Car il s’avère que nos savoirs peuvent se transmettre à n’importe quel groupe humain, qui sera capable de l’assimiler et de l’améliorer encore. De ce fait, ceux qui veulent confisquer le pouvoir, par la propriété, le droit d’usage, l’exclusion, semblent représenter des mouvements rétrogrades, d’autant plus violents que le courant augmente d’intensité.
    Cette accélération des échanges intellectuels engendre bien des obsolescences dans la pensée, puisque le secret, base de tous les chantages et de toutes les tricheries, devient simplement une question de temps. Tous les actes publiques peuvent et doivent être analysés, maintenant ou plus tard, pour ceux qui veulent «vérifier les comptes». Le secret nécessaire à la réussite d’un enchaînement d’actions débouche sur une analyse a posteriori si elle ne peut l’être a priori . Le préambule de la constitution française le stipule bien, et personne n’ose le contredire. Le hic est que la Constitution de la Vème République organise les institutions de telle manière que l’administration échappe à ses obligations, par le biais de quelques pirouettes, savamment noyées dans les articles et que tous les élus, la main sur le cœur, assurent être impossibles.
    C’est ainsi que le budget est voté globalement, dont en particulier les budgets «secrets» !! Puisque le secret est garanti par le Président, il n’y a rien à voir ! Et le Président vous le garantit, tout ce qui n’est pas secret sera surveillé, contrôlé de manière impartiale et indépendante ! Et quelle est l’étendue des secteurs soumis au secret ? Vous ne le saurez pas, c’est seulement chaque fois qu’une demande est faite que la réponse tombe, secret ou pas secret. Difficile de trouver le périmètre dans de telles conditions. Seulement la France se trouve avoir essaimé sur tout le territoire des zones militaires officielles, sources de moyens économiques, car les militaires dépensent, ce qui permet d’avantager ou non certains élus, tandis qu’elle développait des zones de recherches secrètes. Tout cet ensemble entraîne un contrôle de l’économie, au sens matériel, qui n’est déjà pas anodin.
    Que de complications pour les observateurs, et les rapports des organismes européens le montrent bien, les conséquences en matière d’égalité et de respect des droits de l’Homme sont désastreuses. La République Française dépense des sommes colossales uniquement pour cacher son incohérence. Car le nationalisme a bon dos, et le bon vieux dicton : « À qui profite la situation ? » permet d’éclaircir (un peu seulement) le problème. L’organisation des cadres de la Défense cache bien des détournements en tout genre, que quelques procès bien vite enterrés permettent d’imaginer pour une part, tandis que les fournisseurs aux armées sont une autre source de surcoûts permanents. Qui vérifie les marges bénéficiaires, et les contraintes économiques dans ces domaines ? Mais il y a bien plus comme conséquence, à savoir l’impossibilité d’organiser une justice cohérente identique pour tous les citoyens. Ce sera un autre volet !