Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

ANVEDJ - Page 33

  • Le mensonge est-il un plaisir ?

     

     

    À consulter les revenus des personnalités politiques, il semble que l'assiette au beurre n'est pas prête de disparaître. Nos problèmes et nos soucis sont donc bien loin de ceux des élus et des haut-fonctionnaires qui dirigent les grands pays de notre planète.

     

    Il est symptomatique de constater que les réceptions internationales s'accompagnent toujours de réceptions fastueuses que les plus grands monarques des grands empires passés ne renieraient pas.

     

    Il est quand même étonnant que rien d'important ne puisse se faire dans notre civilisation sans une débauche de frais inutiles et de gaspillages qui ne peuvent pas honorer ceux qui les engagent.

     

     

    Comment se fait-il qu'il soit possible par exemple de réduire les moyens mis à la disposition de la santé publique alors que dans le même temps le nombre des chauffeurs de haut-fonctionnaires et autres « inutiles non-indispensables » ne diminuent pas. Combien d'immeubles parisiens abritent des pléthores de services dont tout le monde ignore l'existence.

     

     

    Or, l'organisation sociale suppose par nature une réflexion sur les moyens et les méthodes à employer pour résoudre tous les problèmes sociaux. Depuis que les États existent, les problèmes sont connus, en particulier celui de la corruption, et personne n'a l'air de s'en rendre compte. Tout est toujours nouveau, c'est toujours la faute des absents et des opposants.

     

     

    Nous sommes fatigués d'entendre à tout propos et hors de propos des justifications inutiles nous permettant de constater que rien n'avance, que le train de vie de l'État continue à privilégier ceux qui n'en ont pas besoin, à protéger les combines malsaines, à organiser la mise en place d'un système qui privilégie les réseaux au dépend des principes du Droit. Nous sommes d'ailleurs obligés de constater que la classe politique se félicite des progrès accomplis alors que leurs actions ont pour seul et unique but de nous rationner. Au-delà des effets d'annonce de l'opposition de droite ou de gauche, dont nous aimerions bien lire les propositions pratiques, réelles, palpables, il n'y a qu'un silence implacable qui renvoie au néant. Quels progrès ont été fait dans les traitements des affaires en cours devant les tribunaux, quels solutions ont été proposées aux victimes des multiples systèmes de manipulation développés sans vergogne. Il est à se demander si le fait de mettre fin à quelques conflits d'intérêts trop voyant n'a pas pour but d'élargir l'assiette des nantis, toujours sans résoudre les scandales les plus courants.

     

    L'administration, par exemple, concerne au moins la moitié de la population. Lorsqu'un citoyen a un litige grave avec l'Administration, avec un grand A, qui va régler ce litige, à part un fonctionnaire. Le citoyen ordinaire n'a donc aucun moyen de trouver un service réellement indépendant qui constatera les faits dénoncés. Prenons un exemple simple : un service vous refuse l'accès à un document que la Loi vous autorise à consulter, arguant d'incompétence, de silences d'autres services, …. qui va vous aider, et à quel prix ! Là où vous devriez être dédommagé, il vous faut mobiliser des ressources financières pour entamer une procédure qui peut durer, durer, durer, … jusqu'à votre décès ! C'est intolérable ! Si ce document résulte d'un arrangement entre la police, la gendarmerie et la justice, il ne vous reste plus grand chose. Accessoirement, vous ne pouvez même pas quitter le pays, marqué comme individu dangereux dans les dossiers DST et autres, vous savez bien, tous ces documents que la CNIL ne connaît pas !

     

     

    Alors, si l'un de ceux qui affirment vouloir faire quelque chose veut faire un effort, qu'il nous contacte, nous lui fournirons des preuves détaillées, dossiers en main, des incohérences permanentes qui agitent les services judiciaires. Nous sommes en mesure de montrer que la résolution des affaires les plus simples déboucherait sur un signal fort de la réorganisation des services qui pourraient enfin se consacrer à leur métier sans interactions verticales et transversales inutiles et dangereuses.

     

  • La mauvaise foi

     

     

    L'une des spécificité de la race humaine est d'avoir acquis avec le langage la capacité du mensonge. La science nous permet tous les jours de découvrir que de nombreuses affirmations courantes sont proférées de bonne foi, alors qu'elles s'avèrent totalement erronées et destinées à cacher des réalités peu avouables.

     

    Ce genre de comportement est une source d'erreurs et d'abus permanents, qui crée des victimes dès que l'autorité y est rattachée. L'exemple que nous allons prendre est en ce moment à la UNE de tous les médias. Le débat à propos du mariage va aller devant le conseil Constitutionnel au nom de la « normalité », du respect du fonctionnement naturel, au nom des principes, …

     

    L'observation scientifique a pourtant depuis longtemps constaté que la monoparentalité est courante chez de nombreuses insectes, mais aussi chez des reptiles, … que le besoin de deux sexes est une « politique » selon les espèces. La parthénogénèse, nom bien savant et compliqué pour dire que l'individu est capable de se reproduire sans fécondation extérieure, assure une meilleure régularité que le besoin de partenaires pour se reproduire, tandis que la fécondation assure une meilleure défense contre certaines maladies, et plus d'adaptabilité.

     

    La nature n'a donc pas fait de choix dans ce domaine, et les « politiques » sont donc très nombreuses selon les espèces. L'homme aurait la faculté de parthénogénèse, mais reste à l'observer ou à le reconnaître. Il est sûr que pour le mâle dominateur qui a souvent interdit aux femmes de vivre leurs vies, qui a souvent fait de la virilité une preuve de supériorité, reconnaître que l'autre sexe pourrait peut-être même se passer de lui a quelque chose d'insultant. Mais l'homme a tendance à se prendre pour ce qu'il n'est pas, et à imposer autour de lui son manque flagrant d'humilité.

     

    Ce type de débat est symptomatique des folies de l'Humanité et des fragilités des organisations sociales. Il suffit qu'un groupe d'individus plus violent et déterminé que les autres décide d'imposer par la force (et la terreur si besoin) une méthode d'organisation assortie d'obligations dites « légales » pour que tout un peuple se retrouve asservi et même détruit, tout en étant contraint de s'automutiler en permanence. La lutte contre les discriminations prétend protéger les populations qui feraient preuve de différence, et c'est au nom de cette lutte que certains prétendent modifier ce que l'observation scientifique constate tous les jours.

     

    Nous pouvons seulement déclarer que les humains ont une vie limitée, qu'ils se reproduisent, que les enfants sont mis au monde par ceux de ses membres disposant d'un utérus, que l'éducation est à la base de l'acquisition des savoirs nécessaires à la survie, que l'Humanité a un mode de vie collectif. La famille, constituée de plusieurs générations liées généralement par la naissance, a un rôle différent suivant la conception de l'organisation sociale, puisque le clan, l'ethnie, ou la vassalité, et même l'esclavage peuvent s'y substituer ou interférer.

     

    Nous nous interrogeons donc à bon droit lorsque des groupes organisés cherchent à imposer soit le maintien, soit la création de droits que l'observation scientifique n'a jamais constaté. Les victimes de ces méthodes inquisitives et contraignantes ne peuvent admettre de voir fleurir des débats biaisés et trompeurs, car ils sont seulement la preuve que notre société est manipulée par des réseaux organisés qui se moquent bien des Lois qu'ils font adopter, leurs buts étant autres et malheureusement indétectables pour les citoyens ordinaires.

     

    L'hérédité se constate, pas l'affectivité, et tous les débats sur les droits de succession tournent autour du conflit entre ces deux modes de transmission. De la même manière, transmettre des biens n'est pas transmettre un savoir. Peut-on s'affranchir de cela, et choisir une législation individuelle qui imposerait, permettrait seulement ou interdirait de faire des choix concernant l'avenir des biens matériels et droits intellectuels avant le décès ? Il serait plus honnête de poser ainsi le problème afin de quitter l'adhésion passionnelle et le déterminisme induits par l'éducation trop dirigée. Il est donc bien difficile de rester serein dans le débat et de pousser la réflexion dans ses retranchements.

     

    Mais l'occasion était trop belle de montrer que le mot « pourquoi » est trop souvent galvaudé. Un jugement doit dire pourquoi et comment, et non j'ai décidé, parce que je suis l'autorité.

     

  • La preuve qui fait tache

     

    La vertu de l'exemple

     

    L'exemple qui suit est vécu, c'est la preuve par les faits ; pour un de connu, combien n'osent pas se confier, nous espérons que cette vérité qui dérange vous incitera à nous confier votre silence, afin que ce silence devienne rumeur, que la rumeur devienne scandale, et qu'enfin la vérité éclate.

     

     

    Un conseil Départemental de l'accès au Droit a délivré à un consultant un « bon de consultation » auprès d'un avocat « spécialisé » afin d'aider à résoudre une situation de celles que la Loi déclare comme devant faire systématiquement l'objet de décisions judiciaires.

     

     

    L'évolution des Lois françaises depuis plusieurs décennies tendrait à aider les victimes, à leur donner une forme de reconnaissance, afin de réduire les scandales qui défraient la chronique. Est-ce vrai, ou bien est-ce une méthode pour obtenir que les autres pays européens ne nous montrent pas trop du doigt.

     

    Dans l'histoire qui nous occupe, c'est plutôt cette forme qui nous semble refléter la réalité.

     

     

    En effet, l'intéressé s'est donc rendu chez le professionnel conseillé, et a pu écouter les analyses faites par ledit spécialiste, qui ont confirmé qu'il était en effet totalement inadmissible que la situation ait duré aussi longtemps. MAIS ….

     

     

               il a d'abord été évoqué la prescription, que peut y faire la victime, puisqu'elle ne peut rien contre le mauvais fonctionnement des services, …

     

               il a bien sûr été reproché à l'intéressé de ne pas avoir fait montre d'assez d'obstination, même si la liste des demandes est « impressionnante », ….

     

               et enfin, il a été déclaré que, comme le dysfonctionnement résultait du mauvais fonctionnement de services publics, c'était l'État qui était responsable, qu'il fallait donc intenter une procédure contre l'État, destinée à obtenir un dédommagement, mais que CELA ÉTAIT INUTILE, CE TYPE DE PROCÉDURE N'ABOUTISSANT JAMAIS EN FRANCE !!!!!

     

     

    Il n'y a aucun commentaire à faire.

     

     

    Bien sûr, ces consultations sont payées par l'État, mais rien n'est écrit, les affirmations ne sortent pas des bureaux, et l'OMERTA reste le principe de base qui continue.

     

     

    Il y a donc bien volonté de faire taire les victimes, car parmi ces victimes figurent tous ceux que la haute administration considère comme des gêneurs, des trublions, des empêcheurs de magouiller en rond. Ils rentrent dans les catégories de gens qui sont « dépressifs », « suicidaires », « inadaptés sociaux », « irresponsables », « susceptibles de mettre en péril les intérêts de la Nation », … des collections de phrases n'ayant qu'un intérêt lointain avec les Droits de l'Homme et les Principes de la République. Plus généralement, ils se sont trouvés témoins ou victimes d'actes délictueux commis par des notables ou des fonctionnaires qui bénéficient de « protections » pour « services rendus ». Vous pouvez traduire comme bon vous semble.