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  • Nos demandes sont simples

     

    Nos demandes sont simples :

     

    • Quelle est la garantie que la justice n’est pas toute-puissante ? Puisque si personne ne la contrôle, elle est de fait toute-puissante.

     

    Exemples : dossiers d'instruction disparus, fausses déclarations de la police ou de la gendarmerie, jugements non motivés, décisions illégales, ...

     

    • À qui le justiciable peut-il adresser gratuitement ses plaintes quand il se heurte à des dysfonctionnements et des erreurs graves qui portent atteinte au droit fondamental de la défense ?

     

    Exemples : Accusations gratuites, pièces non communiquées, abus d'autorité, petits « arrangements », … !!

     

    • À quel organisme indépendant, neutre et impartial, le justiciable peut-il adresser gratuitement ses requêtes quand il a des raisons de se plaindre d’un juge, d’un avocat ou de tout autre auxiliaire de justice ?

     

    Exemples : conflits d'intérêt, réseaux occultes, trafics d'influence, ...

     

    • Comment le justiciable peut-il obtenir gratuitement la réparation des préjudices qu’il a subis ?

     

    La Justice ignore les victimes, tout citoyen est d'ailleurs une victime potentielle, ...

     

    • Combien de plaintes le CSM a-t-il admises depuis janvier 2011, c’est-à-dire depuis que le justiciable peut le saisir pour se plaindre du comportement d’un magistrat ?

    • Quelle est la garantie que la Cour de cassation casse et annule les décisions qui ne sont pas conformes aux règles de droit ?

    • Le justiciable ne serait-il donc pas un citoyen comme un autre ?

    • À qui, si ce n’est au Président de la République, au Garde des Sceaux ou aux députés, peut-il soumettre ses plaintes ?

     

    La rengaine sur « l'indépendance de la Justice » ne résout rien.

     

    • Aux juges ? Alors qu’il se plaint des juges, on lui demande de signifier ses doléances au juge, qui devient automatiquement juge et partie !

    • Alors qu’il se plaint des avocats, on lui demande de prendre et de payer un avocat pour signifier ses doléances au juge qui devient, là encore, automatiquement, sous l’effet du corporatisme, juge et partie. Et quand bien même, il le ferait, quelle serait la garantie que sa cause serait examinée avec impartialité et objectivité ?

    • À la Cour de cassation ? La Cour de cassation, chargée en ultime ressort de vérifier que la justice est rendue en conformité avec les règles de droit ?

     

    Mais nous avons les preuves que les recours en cassation peuvent être délibérément entravés.

     

    Car l'Humanité reste l'Humanité, avec ses faiblesses ! Tous les philosophes s'accordent pour reconnaître que le pouvoir corrompt, alors lorsqu'en plus rien n'est contrôlé, où va-t-on ? Vers la corruption ordinaire, habituelle, clientéliste et irresponsable, celle que nous vous demandons de faire reculer.

     

  • Même organisation, mêmes méthodes

     

    « Je ne suis pas sûr que le PS puisse donner des leçons, après les écoutes de MITTERAND ». Cette phrase prêtée à un proche du Président résume bien l'état d'esprit de nos dirigeants. Au lieu d'assainir le monde politique, chaque « affaire supplémentaire » est devenu un outil pour tester le niveau de corruption, et vérifier qu'il ne se passera rien, ou si peu, … Les commanditaires de tous les scandales à répétition reprennent à leur compte les scénarios les plus éculés, dont les français sont lassés depuis longtemps, puisque l'assainissement des institutions est considéré comme « mission impossible ». Les hauts-fonctionnaires de la République considèrent que le pouvoir exécutif a tous les droits, y compris ceux de suspendre temporairement n'importe quelle institution du moment que cela les arrange. Pas de justice, pas de droit individuel, pas de respect des lois, encore moins des règlements, il suffit d'envoyer un ordre, par écrit ou par tout autre moyen pour que tous se rangent derrière, à croire que la seule leçon qui soit inscrite au programme des cadres supérieurs se résume à « tais-toi et marche », et que le seul but des stages et des formations soit de savoir jusqu'où cela peut aller.

    Tous ces individus prétentieux mais sans aucune force morale sont la base des dictatures et du manque de sens moral. Monsieur le Ministre de l'Éducation Nationale, vous ne pouvez pas demander que la morale soit seulement enseignée aux gens honnêtes, c'est déjà fait, par contre, il serait bon que les Universités d'été par exemple servent à l'enseigner à ceux qui font de la politique, et que des examens montrent les progrés faits.

    Pour la galerie, un ou deux « directeurs » vont se retrouver mutés, (avec avancement bien sûr), et la messe sera dite. Les associations de victimes ne peuvent même pas monter au créneau, puisque seules les associations agréées peuvent internenir, les journalistes y veillent, chacun son fromage, et que chacun reste sur ses positions.

              Je n'en reviens toujours pas, mais une fois de plus, la loi protègerait des droits qu'auraient certains citoyens, sans que les autres ne soient concernés. En permanence, le Droit est flottant, tant et si bien que seuls ceux qui font partie des « réseaux » peuvent faire respecter certains droits exorbitants du « droit commun ». Il s'agit donc de luttes d'influence entre groupes de pression, et surtout pas d'égalité républicaine. L'usage des fonds publics dans des conditions douteuses ne gêne personne, alors que tous demandent de faire des économies. Le mélange des genres est donc permanent, et nous devons intervenir.

              Cela suffit : nous ne sommes pas là pour compter les points d'un tournoi médiéval, afin de recevoir quelques pièces à la fin de la fête, nous sommes là pour renvoyer tout ce beau monde sur la touche. L'abus d'autorité est une faute lourde qui doit exclure des fonctions publiques avec sanction financière tous ceux qui s'y prêtent.

    La tolérance de pratiques douteuses, en particulier financières, doit permettre de faire rentrer des fonds dans les caisses de l'État, et pénaliser tous les partis concernés, au lieu de donner lieu à des « arrangements ».

    Le spectacle donné à Marseille disqualifie nos méthodes de recrutement et d'organisation des administrations, puisque ce qui a donné Vichy se reproduit tous les jours. Les carrières ne sont que la reproduction des corporations, et la négation de l'Égalité. Quand on lit ce qui se surveille, il n'y a pas de réelle Liberté. Et bien sûr, la Fraternité ne fait pas partie du vocabulaire de ces individus, puisque le moindre de leurs actes a pour but d'y faire échec.

    Rappelons-nous que le niveau d'intelligence ne change pas la taille des estomacs, et que l'appétit de puissance ne change pas la taille de la grenouille. La République n'existe pas pour faire semblant, nous exigeons donc son respect, et la démission de ceux qui se servent des institutions au lieu des les servir.

  • L'autorité

    L'AUTORITÉ

    L'autorité est le fondement de notre système social, en ce qu'il permet à celui qui l'invoque d'asseoir sa décision sur un passé commun à la structure sociale au nom de laquelle il intervient.

    Pour faire simple, l'autorité procède d'une fonction dévolue à un individu pour maintenir la norme, la faire évoluer de la même manière pour tous, sans que certains puissent y déroger.

    Être victime, c'est avoir fait l'objet d'un acte, ou d'une action que la norme sociale n'autorise pas, et qui crée donc un préjudice. Pour que les règles sociales soient respectées, ce préjudice doit être indemnisé, afin de rétablir les équilibres antérieurs.

    Plusieurs problèmes peuvent donc surgir lorsqu'il faut mettre en œuvre ce système. Puisque l'autorité s'impose à tous, comment éviter les détournements de l'autorité, permettant de créer des déséquilibres dans le système social, au profit d'un individu, d'un groupe d'individus, d'une catégorie sociale, d'une profession, .... Comment répartir les fonctions afin qu'elles ne se contrarient pas, devenant inefficaces et inutiles ? Comment équilibrer les fonctions pour qu'elles ne créent pas des castes et des dynasties ? Toutes questions que de nombreux penseurs ont agitées en tous sens et dont ils ont tiré peu à peu les principes du fonctionnement d'une démocratie républicaine et laïque, capable d'offrir à tous les mêmes règles de fonctionnement tout en respectant la sphère privée.

    Cependant, dans de nombreux cas, il s'avère que ces règles et leurs obligations sont tenues en échec de manière flagrante en raison de déviances et de bavures qui les mettent en évidence. La République Française est loin d'être un modèle en la matière, car les groupes antagonistes qui pensent contrôler de nombreuses fonctions sont nombreux et actifs. C'est à cette situation que notre association doit de regrouper des exemples de situations que le législateur estime devoir être redressées, alors que la fonction publique ou certains de ses membres empêchent ce rééquilibrage.

    Or, lorsque l'on se réferre à la législation, celui qui abuse de sa fonction pour rendre des décisions contraires à la volonté du législateur est lourdement puni. Les articles du Code Pénal sont précis, détaillés et faciles à comprendre pour tous. Mais quand vous cherchez la jurisprudence correspondant à ces situations, il faut constater qu'il y a un grand vide. Comment est-il possible que des irrégularités évidentes, qui, dans tous les métiers sont sanctionnées immédiatement par une cessation de fonction, fasse l'objet d'une cécité absolue et permanente.

    Une seule explication : les équilibres entre les fonctions n'existent plus, l'Europe nous le répète sans cesse, mais nos élus refusent de le voir, car leurs propres fonctions ne sont plus elles-mêmes l'objet du respect public. Nous sommes donc dans une situation assez inextricable en raison de multiples détournements des fonctions au profit de groupes antagonistes qui s'échangent les infractions et les petits chantages entre amis, tandis que la grande masse de la population est là pour payer les pots cassés : impôts élevés pour une restitution sociale faible et des préjudices permanents au dépend de tous ceux qui ne sont pas dans un groupe dominant. Cette analyse sera reprise, détaillée, afin de demander encore et toujours le rétablissement du respect des Droits de l'Homme et du Citoyen.