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réactions - Page 12

  • La moindre des choses

     

    La Fraternité a peut-être des limites, mais elles ne sont certainement pas les mêmes pour tous les français. De quelle fraternité peuvent parler ceux qui refusent aux irradiés le moindre dédommagement, la moindre reconnaissance, de quelle France se réclament-t-ils, quel droit prétendent-ils défendre ? Celui de payer des millions d'euro en commissions bidons, celui de payer des experts que personne ne reconnaît au niveau international, celui de virer des fonds sur des paradis fiscaux, celui de ne pas payer d'impôts lorsque l'on est riche, ce n'est pas le droit de notre république, et ce ne le sera jamais. Détourner la fonction publique, ce n'est pas la première fois que cela se fait, et certainement pas la dernière, mais il y a quand même des limites à ne pas dépasser. En refusant aux victimes des essais nucléaires français la reconnaissance que la science constate malheureusement partout dans le monde, nous avons atteint un niveau de honte que peu de dictateurs ont cotoyé, car cela oscille entre le ridicule et le scandaleux, cela fait rire jaune, cela rend triste pour la culture française, car les fameux experts touchent, eux, des fonds publics, pour insulter des gens qui n'avaient souvent même pas idée que de telles situations puissent exister, et qui croyaient que l'État était là pour les protéger de tels risques. Ce n'est même plus de l'abus d'autorité, car cela confine à l'autisme, à l'incohérence, à l'absurdité. Il n'y a plus rien à dire, mais il est plus que temps de s'indigner et de se rappeler que ceux qui mettent en danger la population civile sans cause et sans raison autre que leur incompétence doivent rendre des comptes devant les instances internationales. Que chaque association cherche dans ses archives les documents qui permettent de déclencher les procédures de génocide, et cherche une instance internationale reconnue capable de porter sur le devant de la scène les exactions de ceux qui croient que seuls ceux qui perdent une guerre peuvent être poursuivis pour crime contre l'Humanité. Il est grand temps de chercher partout dans les services secrets et ailleurs ceux dont la folie meurtrière a permis de mettre en place des politiques de destruction globale de population, uniquement « pour voir les effets sur une population civile ».

              La Déclaration Universelle des Droits de l'Homme n'est pas un chiffon de papier qui peut se négocier, à coup de pétrole, d'uranium, d'armes, de drogues, de montages financiers opaques, c'est un outil au service de ceux qui n'ont rien, mais sont nombreux et peuvent aussi bien que les autres utiliser la science pour être protégés de la folie du pouvoir.

    Il n'y a pas d'excuse à la folie meurtrière, il n'y a que des comptes à payer, car de toute manière, il faut bien un jour mettre les armes au ratelier. La Police doit devenir un outil de progrès, et non un moyen de faire taire les victimes. Pour ce faire, tout est question d'organisation et de dénonciation, de publication et de dévouement. Des gens qui meurent à cause des trafics, des armes, de la drogue, des irradiations, …, il y en a tous les jours, et tous le savent, n'en déplaise aux auteurs de ces situations, ils ne pourront pas les tuer plusieurs fois, ils ne pourront pas faire disparaître toutes les données, il faut donc mettre au jour et à jour en permanence les effets de ces actes en cherchant qui a signé, et qui doit donc être poursuivi. Citer à comparaître, en comparution immédiate les signataires des ordres devrait contribuer à diminuer les volontaires, même bien payés. Le secret-défense, lorsqu'il sert à camoufler un crime contre l'Humanité n'est pas opposable devant les juridictions internationales. Il faut donc mettre en avant les éléments de décisions qui tombent sous le coup de telles instances. Le temps fera le reste, puisque ce combat est engagé pour les générations futures, pour que l'éducation mette l'accent sur les actes infamants, et non sur des images d'Épinal destinées à montrer la guerre « fraîche et joyeuse », alors que des engagements internationaux ont été signés, et sont foulés au pied par des irresponsables qui se cachent derrière les tampons de la République, mais n'assument surtout pas leur veulerie.

    L'armée des petits, des sans-grade, est innombrable et grossit tous les jours, elle ne peut donc pas perdre, à condition de rester conforme à ses objectifs, et aux moyens que le ciel et le temps lui donnent, et qu'elle ne se trompe jamais d'adversaires.

  • Moment de faiblesse

     

              De tous ceux qui ont vu le monde s'effondrer autour d'eux, il en est combien qui ne déplorent aucune séquelles. Et plus le temps passe, si la situation se prolonge, quel psychiatre, quel psychologue peut affirmer que la reconstruction effacera tout.

              De ceux qui ont souffert presque toutes les nuits de cauchemars dus à des bombardements, qu'ils soient civils ou militaires, de ceux qui se voient subir à nouveau des violences dès qu'ils ont à faire face à des situations pouvant rappeler ce passé qui les a détruits, qui leur a oté la foi en l'avenir, de tous ces gens qui témoignent par leur comportement des conséquences dangereuses pour l'Humanité des excès dus aux folies humaines, qu'avons-nous tiré pour l'avenir ?

    Beaucoup d'hypocrisie surtout, aucune sagesse, aucun progrès dans la résolution des conflits majeurs, la vie courante reste ponctuée par les « coups du sort » qui suivent les affaires de corruption, de trafics, de détournement, de magouilles petites et grandes dont la contrepartie est un flot de victimes qui n'intéressent personne dans les sphères dirigeantes, pour qui ce ne sont que des casse-pieds, qui ont un peu perdu la tête, qui perturbent la vie des « honnêtes gens », ceux qui ne doivent pas être dérangés par des incidents dont les associations s'occupent à merveille !!!

    Il est temps que ces ombres viennent hanter les soirées et les nuits de ces biens pensants. Il est temps que celui qui attend depuis dix, vingt, trente ans puisse réclamer à ses tourmenteurs des comptes. Le secret est un scandale permanent, surtout quand la bonne société fait des bons mots et des gros comptes en banque grâce à ce silence complice. Les victimes en ont marre de lire dans la presse les exploits de ces citoyens au dessus de tous soupçons, dont les revenus sont exclusivement composés de sommes issues des revenus et du travail des contribuables. « Entre nous, il n'y a pas d'affaires d'argent », ne cessent de dire ces hauts-fonctionnaires qui se nomment les uns les autres, s'octroient des rentes, des avantages en nature, sur le dos de ceux à qui ils demandent en plus de faire bonne figure et de les applaudir.

    L'État, par nature et par principe, se devrait d'être frugal, s'il est républicain. Les mondanités, les ronds de jambe, les spectacles réservés, les voitures de fonction, les personnels de service, … sont autant d'insultes à toutes les victimes des mauvais fonctionnements des services publiques. La personne handicapée à la suite d'un attentat mérite un chauffeur qui ne sert strictement rien à un sous-préfet, sauf à lui permettre de boire plus que de raison au frais du contribuable. Les blessés en service méritent un soutien autre qu'une pension, ils doivent constater par eux-mêmes les efforts faits pour que leur situation ne se reproduise pas. La fonction publique n'est pas une sinécure, mais un effort de tous, il n'est pas admissible que quelques-uns la vérouillent à leur avantage en inventant des outrages, des atteintes à l'autorité, des nullités, des droits acquis qui sont autant d'insultes au contribuable. Ce ne sont pas des réformes qui sont nécessaires, mais de définir quels sont les objectifs d'une République, et quels sont les outils nécessaires à cette réussite. Ensuite, tous les citoyens doivent, dans la mesure de leurs capacités, trouver la part qu'ils réaliseront. Il n'y a pas de fonction réservée dans une république égalitaire, puisque tout concourt au bien-être général. Comment voulez-vous qu'il n'y ait pas de fracture entre une population qui survit avec peine, et qui s'entend dire par des ministres et des haut-fonctionnaires que les riches doivent être mieux considérés et protégés !!! À qui faire croire que c'est respecter l'Égalité que d'imposer de payer des avocats pour s'adresser à un juge. Et quelle justice peut s'exercer lorsque le juge lui-même est nommé, puis écarté, par celui qui dirige les affaires qui vont faire l'objet des enquêtes. Qui plus est, l'enquête est confiée au service de police qui a été chargé de surveiller les opérations. Sans compter le financier qui est lui-même commissionné sur l'opération et devrait dénoncer les montages qu'il a lui-même conseillé.

    Toutes choses qui expliquent peut-être les suicides de gens honnêtes, les dépressions nerveuses de victimes collatérales, les pressions multiples et variées, les disparitions de pièces dans les greffes et dans les archives, et le climat insupportable qui accompagne partout les victimes.

    Comment est-il conforme à la manifestation de la vérité et au rétablissement des droits des victimes que les services publics puissent refuser de rétablir par leur action les situations dans leur état antérieur lorsque cela est possible ? Pourquoi n'existe-t-il pas un service public, et non des associations irresponsables, pour aider à faire rétablir les victimes dans leur situation. Nous ne parlons pas de dédommager, nous parlons seulement de rétablir une situation. Ce n'est pas compliqué. Vous avez été volé, la collectivité vous rend l'équivalent, et se charge du reste. Vous pouvez donc reprendre le cours de votre existence, au lieu de courir pendant des années après les voleurs qui ont organisé leur insolvabilité, grâce à l'administration, qui ont fait disparaître preuves et témoins, qui ont droit à la complicité de la « Loi du silence », et qui se chargent plus le temps passe de discréditer les victimes.

    Ceux qui ont perdu leur entreprise et leur métier, à cause de marchés truqués, de chantages, de jugements manipulés, de faux, ceux qui ont perdu un proche, un ami, par défaut de fonctionnement d'un service public, ceux qui se sont trouvés licenciés pour cause de combine financière, dite opportunément « mondialisation », ceux qui constatent simplement que notre République ne respecte plus ses principes, tous ces citoyens doivent réclamer aux élus des comptes.

    Les députés et les sénateurs doivent clairement dire que les comptes de la République doivent être clairs et propres, et exiger la démission de tout fonctionnaire qui refuse de les leur fournir. Toutes les opacités doivent cesser, il n'est pas admissible d'entendre parler de comptes en Suisse ou dans les paradis fiscaux appartenant à une administration, à un service de l'État, à une association bénéficiant de subventions.

    Le citoyen, en connaissance de l'usage des fonds publics, peut voter pour une politique, il faut mettre fin aux mandats en blanc.

  • Quand la Fraternité devient un délit

     

               Mettre des déchets sur la voie publique en vue de leur ramassage par les services publics, et avec leur accord serait constitutif d'une infraction. Il y a beaucoup de questions à se poser en lisant un tel texte.

    Soit il y a erreur dans la publication du texte, soit un élu ou des fonctionnaires doivent démissionner et être poursuivis pour atteinte au institutions. Que des gens survivent dans des bidonvilles est déjà en soi une anomalie, que ce soit en France ou ailleurs. En effet, il existe des traîtés internationaux que la France a ratifié et qui payent des institutions pour agir contre de tels états de fait. Le rapport sur le contrôle de ces opérations montre surtout que les fonds sont insuffisants, et que tous les pays se font tirer l'oreille pout trouver quelques centaines de millions afin d'honorer seulement une partie de leur quote-part dans la lutte contre ces situations. Or, les mêmes responsables trouvent des milliards pour payer « des danseuses », à savoir des investissements inutiles à vocation électoraliste, comprenant toujours une part de retour en financement politique ou même personnel. Que Monsieur OLLIER s'honore de son amitié avec Monsieur KHADAFI, libre à lui, mais que notre parlement ait confirmé des ventes d'armes et autres opérations de ce type, c'est une insulte aux victimes des attentats fomentés par ce monsieur. C'est surtout la preuve que le pouvoir exécutif français se moque des citoyens, et que les services de police et de justice sont directement utilisés sans se préoccuper des principes de notre droit, sans se préoccuper du fonctionnement des institutions et des contrôles parlementaires, sans se préoccuper des engagements internationaux de lutte contre la corruption, les trafics internationaux et autres sources de financements occultes.

    Bien sûr, les habitants d'un bidonville n'apportent pas une bonne image, mais ce prétexte est-il acceptable dans un Tribunal aux yeux du principe de Fraternité. Il n'y a rien à faire, les fonctionnaires et les élus qui refusent d'appliquer les principes de la République Française doivent rendre des comptes, car ce sont eux qui suspendent en permanence le fonctionnement des institutions, qui imposent des systèmes de corruption passive contre lesquels nous n'avons pas de recours juridiques tant que l'Europe ne constatera pas par des rapports constants que les citoyens doivent avoir accès au système judiciaire et que ceux qui sont victimes doivent trouver des enquêteurs pour vérifier leurs preuves et mettre en accusation ceux qui osent ainsi fouler aux pieds les fondements mêmes de notre droit.

    Comment se fait-il que l'on mette à la mode dans les salons parisiens le « droit à l'indignation » tandis que celui qui se présente devant le procureur de Bourges ou de Blois se voit lui condamné pour avoir « osé attaquer une autorité », sans même que les faits ne soient invoqués. Vous insistez, devant le Doyen des Juges d'Instruction, et le dossier est classé « ab initio », ce qui veut tout simplement dire que l'on vous refuse le droit d'être citoyen, puisque vous n'avez pas d'accès à la Justice. Il vous reste la citation directe, je n'ai pas besoin de vous faire un dessin, plusieurs sites montrent ce que cela donne.

    Il y a donc des élus qui détournent les administrations, sans que cela ne fasse jaser les ténors de ce pays, cela n'est pas réjouissant, sauf à se dire que ce n'est pas nouveau, et que le fait d'en parler est peut-être la fin d'un tabou, donc un espoir pour les victimes des erreurs et dysfonctionnements de la Justice.