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génocide

  • Lobbyisme ou conflits d'intérêts

     

    Lobbyisme ou intérêts partisans

     

     

    Nous allons tenter de réfléchir à la pratique du lobbyisme, plus simplement des méthodes d'influence. Faire prendre les décisions qui plaisent à leurs demandeurs est-il un comportement compatible avec l'intérêt général ?

     

    Pour en parler, il faut déjà définir l'intérêt général, et l'organisation sociale. L'intérêt immédiat n'est jamais l'intérêt à long terme, et les Fables de La Fontaine apprennent à tous les français que les intérêts divergent selon le point de vue que l'on adopte. Le but de l'organisation sociale est de permettre à tous les citoyens de bénéficier des mêmes droits, afin de limiter les conflits entre personnes. C'est en effet dans le seul but de réguler au mieux les conflits que le choix de l'égalité devant les lois a été adopté, plutôt que des règles de castes ou encore d'autres méthodes comme les choix religieux. La démocratie républicaine semble, aux yeux de tous ceux qui analysent l'Histoire, la moins mauvaise manière de prévenir les catastrophes en tous genres qui peuvent frapper l'Humanité. De ce fait, nous disposons d'une Constitution dans laquelle sont inscrits un certain nombre de principes considérés comme la base du Contrat Social Français. Il ne faut pas oublier que ces choix doivent aussi être opposés à ceux d'autres États qui préfèrent d'autres méthodes organisationnelles. Pour faire respecter cette Constitution, il est vital que tout citoyen soit convaincu du bien fondé de ce qui y est inscrit. Or, le Droit dit « Constitutionnel » est considéré comme relevant de « sages », de « constitutionnalistes » qui nous octroient leur vision des textes, quand ils ne servent pas de courroie de transmission à certains groupes influents. De ce fait, nous avons déjà des difficultés pour comprendre les textes de base et leur évolution, puisque nous devons subir les interprétations. Il est surprenant que nos élus ne puissent pas se faire expliquer la Constitution, qu'ils ne puissent pas nous l'expliquer, et qu'elle ne soit pas le socle de notre pensée populaire. La Constitution nous est « octroyée », et le législatif ne la comprend pas. L'exécutif ne sait pas quoi faire de ces principes dont le respect devrait pourtant être la cheville ouvrière de son action. De ce fait, il y a coupure entre les principes et l'action politique tournée principalement vers la satisfaction d'une clientèle, sans bien sûr que le judiciaire n'ait la moindre occasion de se faire entendre.

     

    Conclusion simple : nos principes constitutionnels ne se traduisent pas par des actes, ils se contentent d'alimenter les pensées et les écrits des intellectuels, philosophes, penseurs, et autres experts de la pensée redondante.

     

     

    À partir de ce constat, il n'est pas besoin de faire un dessin pour comprendre que les groupes d'influence sont un rouage essentiel de notre machinerie politique et économique.

     

     

    Dans un État qui cache la réalité de son organisation sociale, qui ne veut surtout pas permettre de constater qui bénéficie réellement des réseaux occultes multiples qui le traversent, la situation a finit par échapper aux élites nationales, au profit de réseaux transnationaux, qui ont pour seul but d'échapper aux obligations d'une organisation cohérente. C'est-à-dire que l'envie de pouvoir, la soif de profits, se substituent à la compréhension des outils de la paix sociale, quant il ne s'agit pas de se faire une gloire d'avoir réussi en détruisant des équilibres locaux. Pas de déontologie, pas de morale, pas de respect de l'humain, il suffit de réussir (quoi ??? ), quitte à semer la guerre, la famine, les génocides, ….

     

     

    Les victimes sont bien placées pour réfléchir à ce qui a manqué d'humanité chez leurs interlocuteurs qui aurait permis aux règles constitutionnelles de s'appliquer, donc à la paix sociale de l'emporter. Il n'y a pas besoin de chercher chez les anglo-saxons cette méthode de gestion par la pression des groupes antagonistes, elle existe chez nous depuis bien plus longtemps du fait des groupes organisés destinés à empêcher l'application des principes républicains. Cette impression de découverte vise plus à cacher une réalité bien moins reluisante de corruption et de compromission, un état de fait de conflits d'intérêts permanents qui donnent à chaque citoyen le goût de l'amertume après chaque élection, puisque les élus servent surtout d'excuse pour que des énarques et autres haut-fonctionnaires cooptés par les décideurs nous imposent leur vision d'un intérêt qui n'a rien de général. Car les décisions les plus importantes échappent au citoyen. Tout ce qui prépare l'avenir à long terme relève de choix auxquels nous ne participons pas. Nos élus sont ballottés, nous semble-t-il, alors que les négociations se tiennent porte close pour lancer les opérations financières qui seront la base des réalisations futures. Les intérêts financiers des grands partis sont opaques et contradictoires, ils ne s'inscrivent pas dans une vision globale de notre société, mais dans des compromissions dont un certain DSK représente le mieux la philosophie. Avec de telles méthodes, ce n'est pas demain que la corruption va reculer, à moins que quelques coups de pieds dans la fourmilière ne les rappellent à l'ordre.

     

    La paix sociale, le bien-être général ne peuvent pas être le choix d'un parti, mais une méthode d'analyse qui ne peut que s'opposer aux intérêts partisans. Que la mise en œuvre préconisée par chaque parti diffère, c'est là que les députés et les élus ont leur place. Il est donc de notre devoir de défense de la République Française de rappeler que ce sont les intérêts partisans qui ont ruinés de nombreux États, dont le notre, et que nous ne pouvons les laisser continuer sous un autre nom sans les dénoncer.

     

  • La moindre des choses

     

    La Fraternité a peut-être des limites, mais elles ne sont certainement pas les mêmes pour tous les français. De quelle fraternité peuvent parler ceux qui refusent aux irradiés le moindre dédommagement, la moindre reconnaissance, de quelle France se réclament-t-ils, quel droit prétendent-ils défendre ? Celui de payer des millions d'euro en commissions bidons, celui de payer des experts que personne ne reconnaît au niveau international, celui de virer des fonds sur des paradis fiscaux, celui de ne pas payer d'impôts lorsque l'on est riche, ce n'est pas le droit de notre république, et ce ne le sera jamais. Détourner la fonction publique, ce n'est pas la première fois que cela se fait, et certainement pas la dernière, mais il y a quand même des limites à ne pas dépasser. En refusant aux victimes des essais nucléaires français la reconnaissance que la science constate malheureusement partout dans le monde, nous avons atteint un niveau de honte que peu de dictateurs ont cotoyé, car cela oscille entre le ridicule et le scandaleux, cela fait rire jaune, cela rend triste pour la culture française, car les fameux experts touchent, eux, des fonds publics, pour insulter des gens qui n'avaient souvent même pas idée que de telles situations puissent exister, et qui croyaient que l'État était là pour les protéger de tels risques. Ce n'est même plus de l'abus d'autorité, car cela confine à l'autisme, à l'incohérence, à l'absurdité. Il n'y a plus rien à dire, mais il est plus que temps de s'indigner et de se rappeler que ceux qui mettent en danger la population civile sans cause et sans raison autre que leur incompétence doivent rendre des comptes devant les instances internationales. Que chaque association cherche dans ses archives les documents qui permettent de déclencher les procédures de génocide, et cherche une instance internationale reconnue capable de porter sur le devant de la scène les exactions de ceux qui croient que seuls ceux qui perdent une guerre peuvent être poursuivis pour crime contre l'Humanité. Il est grand temps de chercher partout dans les services secrets et ailleurs ceux dont la folie meurtrière a permis de mettre en place des politiques de destruction globale de population, uniquement « pour voir les effets sur une population civile ».

              La Déclaration Universelle des Droits de l'Homme n'est pas un chiffon de papier qui peut se négocier, à coup de pétrole, d'uranium, d'armes, de drogues, de montages financiers opaques, c'est un outil au service de ceux qui n'ont rien, mais sont nombreux et peuvent aussi bien que les autres utiliser la science pour être protégés de la folie du pouvoir.

    Il n'y a pas d'excuse à la folie meurtrière, il n'y a que des comptes à payer, car de toute manière, il faut bien un jour mettre les armes au ratelier. La Police doit devenir un outil de progrès, et non un moyen de faire taire les victimes. Pour ce faire, tout est question d'organisation et de dénonciation, de publication et de dévouement. Des gens qui meurent à cause des trafics, des armes, de la drogue, des irradiations, …, il y en a tous les jours, et tous le savent, n'en déplaise aux auteurs de ces situations, ils ne pourront pas les tuer plusieurs fois, ils ne pourront pas faire disparaître toutes les données, il faut donc mettre au jour et à jour en permanence les effets de ces actes en cherchant qui a signé, et qui doit donc être poursuivi. Citer à comparaître, en comparution immédiate les signataires des ordres devrait contribuer à diminuer les volontaires, même bien payés. Le secret-défense, lorsqu'il sert à camoufler un crime contre l'Humanité n'est pas opposable devant les juridictions internationales. Il faut donc mettre en avant les éléments de décisions qui tombent sous le coup de telles instances. Le temps fera le reste, puisque ce combat est engagé pour les générations futures, pour que l'éducation mette l'accent sur les actes infamants, et non sur des images d'Épinal destinées à montrer la guerre « fraîche et joyeuse », alors que des engagements internationaux ont été signés, et sont foulés au pied par des irresponsables qui se cachent derrière les tampons de la République, mais n'assument surtout pas leur veulerie.

    L'armée des petits, des sans-grade, est innombrable et grossit tous les jours, elle ne peut donc pas perdre, à condition de rester conforme à ses objectifs, et aux moyens que le ciel et le temps lui donnent, et qu'elle ne se trompe jamais d'adversaires.