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rentabilité

  • Un Droit pour l'Humanité

     

     

    La Déclaration des Droits de l'Homme a constitué un progrès indéniable, mais l'ONU, avec ses droits de veto et autres combines, est plus mafieuse et lobbyiste que conforme aux règles envisagées à sa création.

     

    Le fait de reconnaître officiellement que les grands, mais aussi les plus petits États se donnent le droit d'espionner, de voler, de tuer, selon des règles qui se disent déontologiques, alors qu'elles ne servent que la carrière de dirigeants avides de reconnaissance internationale et surtout les intérêts de ceux qui les ont fait élire.

     

    Il est donc grand temps de débattre de règles de droit enfin mondialisées, qui permettraient de faire arrêter toute personne dont il est confirmé qu'elle est à l'origine de troubles politiques ou économiques, ou sociaux qui ont coûté la vie à des civils trompés et grugés.

     

    Il est grand temps que les marchands de canon, qu'ils travaillent pour leur compte ou pour celui d'États qui se cachent derrière leur petit doigt, soient contraints de rendre des comptes, même chose pour les financiers, pour les milliardaires. Qui vole un œuf vole un bœuf, alors que dire de celui qui vole un peuple, un État, une culture !!!

     

    Il est grand temps que cessent les déclarations politiques incitant à investir dans la fabrication d'armes, dans l'exploitation du toujours moins cher, parce que la rentabilité de la drogue, des spectacles ou des mauvais produits est meilleure que celle des services sociaux.

     

    Il est grand temps que cesse l'hypocrisie d'un prétendu droit de la guerre, vaste fumisterie qui permet de continuer à tuer impunément n'importe qui, parce qu'il avait le malheur d'être au mauvais endroit entre deux groupes se prenant pour les maîtres du monde, alors qu'ils ne sont que des marionnettes manipulées par des intérêts aussi menteurs que voleurs.

     

    Il est grand temps que commencent à être analysées les conséquences pour les peuples des guerres des dernières décennies, afin que les recels, les mensonges, les spéculations sur les marchés de reconstruction, sur les manipulations politiques, sur les contrôles des matières premières deviennent des réalités tangibles et étudiées, et que la prescription ne puisse jouer.

     

    Il est grand temps que les vendeurs de paradis soient étudiés, puis dénoncés, au même titre que les escroqueries commerciales ou scientifiques.

     

    Il est grand temps que l'humanité cesse de se cacher derrière son petit doigt, et que ceux qui prônent des comportements incompatibles avec les réalités scientifiques connues soient dénoncés et contraints à modifier leur discours. Croire au paradis est un choix individuel, mais inciter ceux qui croient à tuer les autres ne peut pas être accepté, et les personnalités religieuses qui osent mépriser l'humanité au point de se prendre pour les faiseurs de monde doivent rendre des comptes à leurs victimes.

     

    Bien sûr, traduit en termes de théologie par les grandes religions, de telles affirmations n'apparaissent pas immédiatement, pourtant, elles sont courantes et sous prétexte de respect de textes anciens, elles sont une des plaies de l'humanité.

     

    Les progrès du Droit dans le sens de l'Égalité ne peuvent que limiter les emprises sur les esprits faibles, et cela reste l'un des enjeux majeurs des décennies à venir, en surveillant l'application.

     

    Les droits qui ne sont pas respectés ne sont plus des droits !!!

     

    Quand les plus faibles ont toujours tort, c'est que la justice n'est qu'une apparence, mais qu'elle ne fonctionne pas. Quand certaines catégories sociales sont au-dessus des lois, et que c'est un fait établi et vérifié, qui peut oser parler de Justice.

     

    Un citoyen français, ruiné, dont il est évident qu'il a été volé, trompé, humilié, contraint à survivre dans des conditions inférieures au seuil de pauvreté, n'a même pas le droit de s'énerver, c'est une insulte au Tribunal et un outrage à magistrats. Personne n'est dupe, mais pourtant l'administration obéit et peut même le faire interner, car il faut être malade pour ne pas accepter une décision de justice dite « définitive ». Il y a assez de psychiatres pour l'avoir fait, et cette profession s'étonne que sa compétence soit mise en cause !!!

     

    Les esprits indépendants qui osent remettre en cause cette situation de guerre perpétuelle, où le pouvoir revient toujours à la force, sans foi ni loi, sont considérés comme des irresponsables, déconnectés de la réalité, puisqu'ils se mettent à la merci d'un agresseur que l'on n'oublie pas, bien sûr, de mettre sur leur chemin. Qui n'a pas entendu au moins une fois, et toujours sans témoin, « un accident est si vite arrivé ».

     

    Cependant, la raison veut qu'il n'y ait pas d'autre solution pour accélérer le développement des équilibres sociaux. Le droit ne peut pas appartenir à une caste, il se vit au coin de la rue, car justement c'est lui qui évite les bagarres, qui arrondit les angles, qui permet à chacun d'être médiateur, qui calme les esprits échauffés. Il est grand temps que nos constitutionnalistes descendent de leur piédestal, et que la vie ordinaire reprenne le dessus, celle qui permet de faire reculer les bidonvilles grâce aux associations caritatives, celle qui fait cohabiter toutes les cultures au fonds d'une impasse, celle qui offre de l'espoir aux plus précaires, …

     

    L'habit ne fait pas le moine, le sondage ne fait pas la réussite, et les énarques devraient étudier les fables de La Fontaine, ce qui leur éviterait de prendre leurs discours au sérieux.

     

    « Tout flatteur vit aux dépens de celui qui l'écoute ». !!!!!!!!!!!!!!!!!

     

  • Encore faut-il se comprendre !!!

     

     

    L'informatique est un outil extraordinaire, dans tous les sens du terme. En effet, il peut permettre de résoudre de nombreux problèmes dans de très bonnes conditions, mais encore faut-il qu'il reste un outil dont vous gardez le libre usage. Et dans ce domaine, la tromperie est considérée comme normale. L'informaticien estime avoir le droit de ne pas respecter votre volonté, sous prétexte que vous ne connaissez pas l'informatique. Ainsi, vous refusez d'installer un logiciel, mais la commande de refus déclenche l'installation ; vous croyez ouvrir une page blanche, mais elle contient déjà des formatages soit-disant « d'aide à la décision » ; vous cherchez une information, elle est détournée pour vous imposer de regarder une vidéo « publicitaire » sans rapport avec le sujet. Vous croyez acheter l'usage d'un outil, mais vous ne pouvez pas savoir que l'usage est limité par le vendeur selon son bon vouloir. Tout cela « pour faire de l'argent », l'exemple vient d'être confirmé par « facebook » introduit en bourse dans un but évident de rentabilité financière.

     

     

    Il va bien falloir que la société financière, héritière des méthodes d'exploitation qui se sont succédées depuis que l'humanité existe, cède le pas devant l'organisation sociale dans l'intérêt collectif. En effet, ce combat d'arrière-garde qui nous empoisonne la vie dans le seul but d'amasser à court terme ne mène nulle part. Il ne résout rien, crée des conflits permanents, empêche les débats, encourage la paresse, les activités nuisibles à l'humanité, en un mot comme en cent, il pourrit la vie.

     

     

    En particulier, cette volonté permanente de tromper l'interlocuteur pour fausser la répartition des richesses créées par l'activité humaine ne peut pas faire autre chose qu'être à l'origine d'une mésentente ordinaire et courante. Les litiges de la vie courante résultent de cette volonté prêtée à chaque intervenant de vouloir détourner le contrat à son profit. Tout contrat suppose « la bonne foi », mais c'est quoi, puisque la réussite en affaire n'a pas de définition. Le résultat peut aller jusqu'à inciter à mélanger réalité et fiction. Si l'acteur gagne plus que celui qu'il imite, il vaut mieux faire semblant d'être, ce qui est bien une aberration et la preuve que les critères utilisés pour bâtir l'organisation sont défectueux.

     

     

    Notre analyse reste dans le cadre de la philosophie, car il ne suffit pas d'en conclure que ce sera facile de changer le monde, il faut d'abord reconstruire un modèle philosophique différent si l'on veut éviter l'explosion de notre civilisation. La seule nouveauté réelle de la mondialisation est l'accélération des échanges d'information qui permet de constater que toutes les organisations politiques humaines n'ont pas réussi à mettre en place un modèle de relations humaines durable. Si les pensées philosophiques dans le monde sont multiples, elles n'ont pourtant abouti qu'à une « mondialité » basée sur la compétition et la contestation, la tromperie et la mauvaise foi, le présent sans lendemain, c'est-à-dire l'incapacité à se projeter à long terme. Les philosophes restent des phénomènes de foire, dont tout un chacun pense qu'ils ne connaîssent rien à la vraie vie, celle dans laquelle il faut se battre tous les jours, pour ne pas être victime de ceux qui ne respectent rien, et surtout pas les gens ordinaires.

     

    Ce problème de compréhension est encore accentué entre les générations, qui ne parlent pas le même langage, le sens des expressions étant changé d'une génération à l'autre, quand ce n'est pas la totalité des bases de la connaissance. Comment créer une pensée humaine capable de coordonner le savoir et d'en tirer un schéma institutionnel si les interlocuteurs ne partagent pas les mêmes bases pour s'exprimer. Nous en revenons à « après moi, le déluge », ce qui détruit une bonne partie des acquis redevables au progrès des connaissances. La science n'est qu'un outil, elle ne résout pas les conflits, mais peut même les envenimer si ceux qui l'exploitent ne cherchent qu'à en tirer profit. La fracture, si elle se creuse à la pioche sera moins profonde qu'au bulldozer, de même la sagaie fait moins de dégât que la bombe, les décideurs deviennent donc de plus en plus responsables de l'avenir que nous préparons à l'humanité. Il y a donc urgence à écarter ceux qui n'ont pas de compétence à s'inscrire dans une vision planétaire à long terme. Tout ce qui se fait « aux dépens des autres » crée automatiquement des victimes, donc des risques de conflits, sommes-nous conscients de cette situation et de ses enjeux ? Je crois pouvoir affirmer que non !!

     

  • Droit d'entreprendre

     

    La crise nous montre que nous sommes victimes de l'interdiction qui nous est faite d'entreprendre. Si vous regardez de près le niveau d'activité de notre pays, vous vous apercevez que tout dépend de l'autorisation qui vous est donnée d'exercer un métier. Les services de l'emploi passent un temps phénoménal à vous expliquer que vos connaissances sont insuffisantes, et que c'est la cause de votre situation de chômeur. Il est important de vous rabaisser pour vous déconsidérer.

     

    Or, celui qui regarde autour de lui voit bien qu'il pourrait rendre des services, créer des biens qui manquent en ce moment. Mais la « législation ! » lui interdit de le faire, sous prétexte que cela n'est pas rentable. Toujours cette vieille rengaine que tous les économistes sont pourtant d'accord pour rejeter. Même en situation de concurrence défavorable, il reste préférable de garder une part de l'activité sur place, sauf à considérer qu'une part de la population doit renoncer à tout revenu. Euphémisme que ce renoncement, pour dire qu'une part de la population est un poids pour la collectivité, et qu'elle n'a qu'à se serrer la ceinture. Mais pourquoi, rien n'autorise les financiers et les pouvoirs publics à refuser qu'une part de la population participe à l'organisation sociale, c'est même en France contraire aux principes constitutionnels.

     

    Nous nageons en plein délire, puisque les plus pauvres sont même sollicités pour payer une TVA dite « sociale », alors que les financiers vont construire uniquement pour la rentabilité ailleurs dans le monde, et avec ces fonds.

     

     

    Qui peut oser dire que l'existence de matériaux, l'existence de matériels, et la présence d'individus inoccupés ne permet pas de créer des activités dans des conditions intéressantes pour tous. Contribuer au P.I.B. ne peut pas être un danger, ni une honte, ni une tare, par contre faire obstacle à la création d'activités est une atteinte à la dignité, à la raison, et aux droits. Celui ou ceux qui maintiennent leurs concitoyens dans une situation d'infériorité, en leur interdisant sans raison autre que leur propre intérêt, de participer à la vie professionnelle ne sont que des escrocs, car il n'y a jamais trop de richesses. Celui qui affirme l'inverse cherche à créer de la rareté, c'est de la spéculation. Il y a donc conflit d'intérêt puisqu'il utilise un mandat, confié pour mettre en valeur la République, pour servir des intérêts qui sont contraires aux objectifs de la collectivité.

     

    Qui va nous faire croire que la France s'enrichit parce qu'elle achète des denrées à l'étranger. En plus, elle déséquilibre sa balance des paiements, donc elle perd sa crédibilité financière, alors qu'elle augmente son nombre de chômeurs. Celui qui ose prétendre que les chômeurs eux-mêmes paieront moins cher suppose que quelque mécène inconnu à ce jour va verser des revenus à ces chômeurs. Personne n'en connaît à ce jour. Fermer les frontières n'est pas plus crédible, puisque cela ne finance rien ; il est donc important de surveiller tout les beaux parleurs.

     

     

    Nos élus seraient-ils donc des cancres en économie, car les élèves des écoles primaires savent faire la différence entre « être spectateur et être acteur ». C'est toujours le spectateur qui paye. Celui qui ne participe pas reste au bord du chemin. Vivre, c'est participer, de ce fait, interdire de participer c'est tuer un individu, un groupe, une collectivité. Ce n'est pas pour rien que nos donneurs de leçons n'hésitent pas à mettre ailleurs leurs avoirs, mais en cachette bien sûr. Ils savent bien qu'ils nous condamnent à la mort lente. L'important pour eux dans cette affaire est de montrer que seuls des experts peuvent parler, que les autres doivent se taire et obéir, ce qui entraîne une politique sécuritaire, très intéressante puisque la vente d'armes fait partie des activités contrôlées et juteuses. Les difficultés économiques entraînent de l'économie parallèle et souterraine, elle aussi juteuse pour les banquiers et financiers qui ont su depuis longtemps mettre en place des circuits de paradis fiscaux pour bénéficier de cette manne. De ce fait, pourquoi se préoccuper des « masses laborieuses», le tout est de les manipuler, ou de les contraindre. Nous en revenons à la séparation de la société en catégories, puisque les droits ne sont pas les mêmes pour tous. Jouer sur cette catégorisation permet aux populistes de faire croire qu'ils vont créer des catégories inférieures, qui serviront de repoussoir. Cela ne crée pas de richesse non plus. C'est la solidarité active de tous qui permet des choix créateurs.

     

     

    Et nous vous répétons à nouveau que les principes de la République sont donc bafoués, et qu'il faut faire plus qu'être indignés, il faut mettre en accusation devant la Cour de Justice ceux qui trompent sciemment les citoyens de ce pays, tout en se remplissant les poches au passage.