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corruption - Page 7

  • Corruption, quand tu nous tiens ...

    La République Française ne change pas, n'avance pas, elle est pire que les anes, puisqu'elle fait l'inverse de ce qu'elle annonce. Nous avons signé les traités internationaux de lutte contre la corruption, nous nous sommes engagés à rendre plus transparentes nos opérations financières, nos banques doivent signaler les opérations suspectes. Cela, c'est pour la galerie, pour les effets d'annonce, pour le paraître, mais la réalité est beaucoup plus sombre. 

    Elle reste celle des marchands d'armes qui ne passent pas par les commissions d'autorisation, celle des silences de l'administration lorsque quelques uns de nos juges les plus sérieux veulent obtenir la manifestation de la Vérité.

    Un ministre qui refuse que les citoyens sachent ce qui s'est passé vingt ans avant dans un contrat douteux  est un ministre qui renie sa citoyenneté, qui se moque des traités internationaux, qui donc refuse le fonctionnement de notre démocratie. Il fait partie de ces élus qui considèrent que leur mandat les exonèrent de rendre des comptes. C'est de l'abus d'autorité caractérisé, c'est la main dans le pot de confiture, c'est donc la déchéance.

    Monsieur le Ministre, notre Constitution n'est pas celle d'une République bananière, elle a un sens et des valeurs, si ces valeurs ne sont pas les votres, vous devez le dire, et être l'objet des "attentions" que la Loi prévoit dans ce cas. N'importe quel officier de police judiciaire actif dans ce dossier a le pouvoir de vous mettre en garde à vue pour refus de témoigner, pour obstruction à la justice, pour atteinte à l'autorité des institutions, pour suspension organisée de l'application des Lois, pour détournement de fonds publics à des fins mafieuses, de la même manière que les soit-disants membres de la Commission Consultative à laquelle vous vous référez. Quelle Commission pourrait être chargée de dire quand la Loi ne doit pas s'appliquer, c'est un non-sens, une "couillonnade", dirait-on dans le midi, puisque c'est impossible. Ce genre de commission ressemble à celles qui ont permis de justifier les Lois de Vichy. 

     Il y a donc chez les technocrates qui décident à notre place des postes à libérer rapidement, rien qu'en constatant les fraudes judiciaires que les députés peuvent relever journellement dans les documents publiés au nom de la République. Notre pays doit décidément faire beaucoup sourire les diplomates étrangers qui viennent négocier, puisqu'ils viennent faire ce que la Loi nous interdit. Ce qui veut aussi dire que de nombreux dirigeants étrangers ont des moyens de pression sur nos dirigeants dont ils ne se vantent pas, et qui sont autant de raisons de discrédits et de jeux malsains à nos dépens.

    Et comme par hasard, les candidats à la présidentielle qui ne peuvent être atteint par toutes ces affaires sont systématiquement l'objet de tentatives d'ostracisme et de rejet. Que ce soit Dominique Strauss-Kahn, Nicolas Hulot, Martine Aubry, Dominique de Villepin, Nicolas Sarkozy, j'en oublie ..., ils ont tous en commun d'avoir fait des arrangements avec le "diable" à un moment donné. Tous ne parlent jamais d'assainir les affaires occultes, et tous défendent des contrats qui passent par ces paradis et ces commissions multiples et variées à côté desquelles celui qui n'a que le RSA pour s'exprimer est totalement aphone. Pour avoir accés aux médias, il faut avoir des moyens financiers que les gens honnêtes n'ont pas, il faut donc se dire que la campagne électorale doit donc trouver d'autres méthodes de diffusion de l'information pour écarter les magouilleurs ou au moins les obliger à reculer et à commencer par respecter les Lois que nos élus ont voté. Celui qui est pris à tricher doit partir, et cela concerne en ce moment des députés et des ministres mouillés dans des affaires d'armement plutôt louches.  

  • Au secours

    Au secours,

     

    À l'aide !!!

    Que les autres pays d'Europe qui ont signé les traités et qui respectent les règles du fonctionnement démocratique viennent soutenir le peuple français, lui donner de l'espoir, car chez nous, les Droits de l'Homme sont une anecdote, un hoquet de l'Histoire, un instant « d'égarement », seulement le rappel que ceux qui ont parlé d'égalité ont toujours payé de leur vie leurs espoirs déçus.

    Ce sont les bourgeois qui ont récupéré 1789, puis à nouveau 1793, qui ont fait l'Empire, puis la Restauration, le peuple a lancé 1830, mais rien, puis 1848, encore des morts, puis la Commune, que des morts !!! La Troisième République, versaillaise et de droite a surtout nourri le peuple de guerres catastrophiques et de scandales financiers. La Quatrième a beaucoup massacré au nom de la République, pour gardé un système colonial antirépublicain, et la Cinquième au nom de la continuité prolonge les dogmes d'une république au service de ses dirigeants. Seuls quelques noms de personnalités intègres servent à cacher la misère des « petits arrangements entre amis » qui, eux, n'ont jamais cessé. Les affaires, que voulez-vous !!!

    Et que voyons-nous aujourd'hui, un monde judiciaire pour lequel les sanctions sont des avancements, le Corporatisme un principe niant l'égalité devant les Lois, la Manifestation de la Vérité ce que l'Armée et la Technocratie désirent (jusqu'à arrêter les nuages aux frontières), les Traités Internationaux des hochets pour vieillards cacochymes, la Corruption un mode de fonctionnement « psychologiquement équilibré et incontournable », le Mépris une méthode d'Éducation, les conclusions d'Enquêtes un verbiage sans rapport avec les faits observés. C'est toujours la faute des autres, et chacun garde ses avantages.

    Il nous reste à espérer que chaque affaire qui met en cause la crédibilité des administrations françaises fasse l'objet d'un renvoi par nos partenaires internationaux pour cause de faux et usage, preuves à l'appui, et s'accompagne d'une demande que les intéressés ne puissent plus à l'avenir représenter la France dans les instances européennes ou autres. Car toute nomination d'un fonctionnaire français dans les instances internationales est un moyen de pourrir le système et d'exporter les combines qui gèrent notre pays depuis des siècles. Faites attention, les places à l'étranger sont mieux payées qu'en France, et il est donc extrêmement lucratif d'y faire régulièrement un tour, pour rendre service, et bloquer les institutions qui pourraient nous gêner !!!

    La pensée française sur le fonctionnement de nos institutions relève d'un consensus mou, désabusé, au sein duquel chaque clan cherche à garder ses combines, car il les monnaye, tout se paye, que ce soit comptant ou à terme. Ceux qui veulent y échapper font l'objet de discrets, mais efficaces rappels à l'ordre, grâce à des « accidents, si vite arrivés !! », des « procès perdus » malgré les preuves, des administrations « tatillonnes », une marginalisation « incompréhensible » ; combien de citoyens se sont « suicidés » sans raison, que de « dépressions nerveuses » dans notre si beau pays.

    La confiance ne se décrète pas, elle s'acquiert tous les jours, et notre culture gangrénée par un système de corruption généralisée risque bien de déboucher sur une décomposition nauséabonde. Il faut cesser de calculer des richesses selon les valeurs prônées par les beaux quartiers, mais le faire selon les usages du plus grand nombre. L'Égalité et la Fraternité ne sont pas des valeurs que l'on développe pendant les sermons, quelque soit le jour, selon les choix religieux, ce sont des besoins fondamentaux, comme le pain, le sommeil, la santé. Et dans ce domaine de calculs, les classements de la France sont ceux d'un pays en voie de sous-développement avancé, d'un pays qui recule à grande vitesse. Ceux qui se battent le font à contre-courant, l'avenir leur rendra raison, de toute manière, ils n'ont pas le choix, si nous voulons espérer que de nouvelles générations fassent cesser la gabegie actuelle. Avons-nous atteint le fond, rien n'est encore sûr, à voir les négociations entre clans que chaque nouveau scandale apporte.

  • Égalité des armes et mauvaise foi.

    Égalité des armes et mauvaise foi.

    Nous avons été sollicités au sujet d'informations anciennes publiées sur un quotidien à grand tirage, et dont il semble que la simple existence gêne certains des protagonistes. Étaler les querelles internes d'une association devant la Justice ne doit pas ensuite être publié dans la presse lorsque cela desservirait les desseins de certains des intervenants.

    Sauf erreur énorme de notre part, les audiences sont publiques et les jugements sont aussi destinés à porter exemple pour l'avenir afin d'éviter de nouveaux procès sur les mêmes sujets. La Justice est un service public qui a pour but d'aider à l'organisation sociale en faisant respecter un certain nombre de principes. Les Codes en vigueur sont normalement destinés à mettre en œuvre les principes mis en avant par notre Constitution.

    Certaines groupes d'influence prétendent d'ailleurs être un élément moteur de l'évolution des lois et règlements qui nous régissent. Nous sommes obligés de constater que des pressions de plus en plus importantes sont exercées au grand jour, sans que cela ne gêne exagérément nos élus, et nos dirigeants politiques. Le Droit à l'Indignation est une des bases de notre République lorsque les grands principes sont mis à mal, nous le revendiquons donc.

    Nous nous battons par exemple pour que l'Égalité des armes soit respectée devant les juridictions, et nous constatons que ceux qui sont les plus prompts à parler fort et à crier au loup sont ceux qui en permanence suspendent ce principe d'égalité.

    Parlons clair: chaque fois qu'un groupe qui se dit « discret », ou qui se veut informel, utilise ses possibilités relationnelles dans le monde judiciaire afin d'influer sur des décisions à venir, il refuse de respecter les règles de l'Égalité des armes.

    Ce type d'intervention qui ressemble à s'y méprendre à ce que les instances internationales appellent de la corruption est considéré par les réseaux d'influence religieux, lobbyistes, maçonniques, nationalistes comme le fonctionnement normal du système judiciaire.

    Ces groupes qui prétendent tous travailler pour plus de justice et d'égalité n'ont de cesse d'empêcher le fonctionnement des juridictions en exigeant des passe-droits, des traitements de faveur, des condamnations pour outrage, chaque fois que le droit les dérangent.

    Il est plus que temps que les dirigeants des groupes concernés s'engagent publiquement à respecter les règles républicaines qui interdisent d'utiliser son système relationnel devant les juridictions.

    Chaque fois que les membres d'un groupe, d'une association déclarée ou non s'engagent à se soutenir et à se porter secours dans toutes les circonstances, y compris devant les tribunaux, ils s'excluent d'eux-mêmes du système républicain, puisqu'ils n'hésiteront pas à demander à leurs membres exerçant dans la fonction publique, dont judiciaire, de mettre en œuvre ce pacte avant de respecter leurs engagements de citoyens. Ce type de comportement qui est en soi un engagement de suspendre les Lois de la République ne peut pas être toléré. Soutenir son meilleur ami, c'est l'aider à faire face à ses obligations légales, ce ne peut pas être suspendre l'application des Lois dans son cas. Tous les citoyens qui se permettent de suspendre volontairement l'application des Lois et Règlements doivent être poursuivis, et surtout doivent cesser leurs fonctions dés que la plus petite preuve de leur forfaiture apparaît.

    Nous constatons journellement des irrégularités évidentes, mais nous sommes gangrénés par un système qui considère que celui qui a un pouvoir doit, pour prouver son indépendance et sa puissance, l'utiliser pour obtenir des avantages et des « petits plus » au bénéfice de sa « cour ». Notre système est basé sur le clientélisme, la distribution des biens publics ou ceux des autres pour asseoir son pouvoir. 

    Combien peu d'actes issus des activités publiques que les Lois qualifient de criminels sont poursuivis devant les Tribunaux !!! et pourtant, chaque fois que la Manifestation de la Vérité rencontre un obstacle soulevé par un magistrat, un avocat, un expert, il y a tentative de suspendre le fonctionnement de la Justice. Chaque fois que l'administration empêche l'accès aux preuves, chaque fois que de gros moyens financiers achètent les silences, chaque fois que le manque de moyens financiers arrête une procédure, chaque fois que le temps efface l'empreinte d'une preuve, chaque fois, ce sont des individus qui ont volontairement suspendu l'application des Lois. Ces manquements permanents qui font les délices des manipulateurs bien informés (dont certains services de l'administration elle-même), sont pires que la pègre, car ils sont la porte ouverte au système maffieux, dont le chantage est un outil bien connu.

    Un exemple est bien connu, quand les « majors » du bâtiment peuvent impunément utiliser du personnel « au noir », qui osera dire que les procureurs font respecter la Loi. Chaque fois qu'une « enquête » montre sur une émission de télévision des actes délictueux, les magistrats des zones concernées ne peuvent pas déclarer ignorer la situation. Lorsque des enquêtes donnent même des adresses, qui peut croire à l'indépendance de la Justice.

    Il y a donc manipulation permanente de notre organisation sociale, de plus en plus déliquescente semble-t-il, puisque de grandes concentrations dans les banlieues ne sont l'objet d'aucun suivi social et organisationnel, et que la délinquance peut même y devenir un moyen reconnu de ressources, dont les caïds créent des milices qui peuvent s'en prendre directement aux populations, leur servant de bouclier humain.

    Tout cela part de l'incapacité de nos élus à faire respecter un système judiciaire conforme aux règles constitutionnelles. L'exécutif flatte les élus, et distribue les fonds publics selon leurs besoins politiques par le biais de l'administration. Les financements en tout genre font aussi partie des remerciements, le système judiciaire ne peut donc qu'être gênant s'il met le nez dans les affaires, il suffit donc de le museler, en rendant impossible son fonctionnement :

    • personnel coopté,

    • système d'avancement contrôlé,

    • budgets insuffisants,

    • contrôles des dossiers au préalable par la police et l'armée,

    • modification permanente du fonctionnement,

    • interventions directes ou indirectes,

    • accès restreint du citoyen par les contraintes financières ; …....

     

    Il vaut mieux s'arrêter, car cela est déprimant !!!

     

    L'Égalité des armes impose donc que toute forme d'intervention, quelle qu'elle soit, soit systématiquement considérée comme tentative de corruption.