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  • RESPONSABILITÉ

    Responsabilités à tous les niveaux.

    Nous sommes partisans de la nécessité de rendre responsables les juges devant le peuple, au moyen par exemple de jurys populaires, conseillés par des professeurs de droit de la spécialité.

    Un tel choix s'inscrit dans un débat beaucoup plus large : celui de la responsabilisation des institutions, à savoir de toutes les professions assimilées à des activités par délégations de services publiques.

    Que ces professions soient libérales, qu'il s'agisse de fonctionnaires, tous les citoyens doivent être responsables de leurs actes, lorsqu'ils agissent au nom du peuple.

    La conséquence directe est que ce ne sont pas seulement certaines fonctions qui doivent pouvoir être montrées du doigt, mais tous les actes dont les conséquences ont été préjudiciables au citoyen ordinaire.

    Cette réforme en profondeur concerne aussi bien les notaires, que les huissiers, les liquidateurs judiciaires, tous les juges et magistrats, les avocats, mais aussi les fonctionnaires à l'origine de nombreuses décisions graves de conséquences.

    Toute organisation dont le but avoué ou non est d'obtenir l'inflexion de décisions doit être poursuivie pour tentative de corruption.

    Toute organisation qui avoue protéger ses membres doit être dissoute. …. Les conséquences de la responsabilisation doivent toucher tous ces conseillers grâce auxquels les nuages s'arrêtent aux frontières de la France, elles doivent s'appliquer à tous ceux qui naviguent en permanence aux marges de la légalité.

    Ces temps derniers, la presse a encensé l'auteur d'un ouvrage sur l'indignation, rappelant les souhaits du Conseil National de la Résistance. Difficile de faire plus hypocrite, puisque les obligations constitutionnelles sont piétinées tous les jours, sous prétexte de réalisme financier, de sécurité, de droit à la vie privée, de contraintes économiques …..

    Notre indignation, nous la rappelons tous les jours, est pourtant plus que justifiée, nous demandons le simple respect de la Vérité. Et pour cela, nous devons pouvoir nous adresser à un juge impartial et indépendant. Nous devons pouvoir faire respecter quelques principes simples, « Liberté Égalité Fraternité ». Pour ce faire, nous devons pouvoir au moins accéder aux tribunaux et le faire dans des délais compatibles avec le fonctionnement de la vie de tous les jours.

    Aujourd'hui, en quelques instants, une vidéo peut faire le tour de la terre, sans que la Justice française ne s'en soucie, parce que les règles de procédure permettent tout et n'importe quoi, au lieu de se préoccuper de la manifestation de la Vérité. La « fraude corrompt tout » dit le cours de droit, mais à qui faut-il le dire, lorsque la fraude émane des services judiciaires ou de la fonction publique qui dirige les services judiciaires, ainsi que l'exécutif aime à le rappeler.

    À part les yeux pour pleurer, (si vous en réchappez !) que faire face au secret d'État.

    La responsabilisation est un bon principe lorsqu'elle s'applique à tous les citoyens majeurs ou en âge de comprendre, nous n'insisterons jamais assez là-dessus !

    Une autre conséquence directe est la responsabilité financière de l'État, car si une entreprise privée doit trouver un garant pour ses activités, toutes les assurances remontent à l'État en dernier ressort. Dans ce domaine, la collectivité doit elle-même assumer ses choix, elle nomme par ses représentants des citoyens qui exerceront des fonctions, elle doit en assumer les conséquences. En effet, il n'est pas possible de refuser les conséquences des erreurs, puisque la bonne gestion a pour but d'enrichir la collectivité. Il faut savoir être solidaire et s'il faut dédommager, cela fait partie des risques que les citoyens ont accepté de prendre en nommant l'un des leurs pour exercer une fonction.

    C'est en approfondissant de tels principes que l'on constate les comportements antidémocratiques de certains syndicats ou autres corporatismes qui veulent bien obtenir des avantages, mais surtout pas assumer les risques d'erreur ou d'égarement.

  • Au secours

    Au secours,

     

    À l'aide !!!

    Que les autres pays d'Europe qui ont signé les traités et qui respectent les règles du fonctionnement démocratique viennent soutenir le peuple français, lui donner de l'espoir, car chez nous, les Droits de l'Homme sont une anecdote, un hoquet de l'Histoire, un instant « d'égarement », seulement le rappel que ceux qui ont parlé d'égalité ont toujours payé de leur vie leurs espoirs déçus.

    Ce sont les bourgeois qui ont récupéré 1789, puis à nouveau 1793, qui ont fait l'Empire, puis la Restauration, le peuple a lancé 1830, mais rien, puis 1848, encore des morts, puis la Commune, que des morts !!! La Troisième République, versaillaise et de droite a surtout nourri le peuple de guerres catastrophiques et de scandales financiers. La Quatrième a beaucoup massacré au nom de la République, pour gardé un système colonial antirépublicain, et la Cinquième au nom de la continuité prolonge les dogmes d'une république au service de ses dirigeants. Seuls quelques noms de personnalités intègres servent à cacher la misère des « petits arrangements entre amis » qui, eux, n'ont jamais cessé. Les affaires, que voulez-vous !!!

    Et que voyons-nous aujourd'hui, un monde judiciaire pour lequel les sanctions sont des avancements, le Corporatisme un principe niant l'égalité devant les Lois, la Manifestation de la Vérité ce que l'Armée et la Technocratie désirent (jusqu'à arrêter les nuages aux frontières), les Traités Internationaux des hochets pour vieillards cacochymes, la Corruption un mode de fonctionnement « psychologiquement équilibré et incontournable », le Mépris une méthode d'Éducation, les conclusions d'Enquêtes un verbiage sans rapport avec les faits observés. C'est toujours la faute des autres, et chacun garde ses avantages.

    Il nous reste à espérer que chaque affaire qui met en cause la crédibilité des administrations françaises fasse l'objet d'un renvoi par nos partenaires internationaux pour cause de faux et usage, preuves à l'appui, et s'accompagne d'une demande que les intéressés ne puissent plus à l'avenir représenter la France dans les instances européennes ou autres. Car toute nomination d'un fonctionnaire français dans les instances internationales est un moyen de pourrir le système et d'exporter les combines qui gèrent notre pays depuis des siècles. Faites attention, les places à l'étranger sont mieux payées qu'en France, et il est donc extrêmement lucratif d'y faire régulièrement un tour, pour rendre service, et bloquer les institutions qui pourraient nous gêner !!!

    La pensée française sur le fonctionnement de nos institutions relève d'un consensus mou, désabusé, au sein duquel chaque clan cherche à garder ses combines, car il les monnaye, tout se paye, que ce soit comptant ou à terme. Ceux qui veulent y échapper font l'objet de discrets, mais efficaces rappels à l'ordre, grâce à des « accidents, si vite arrivés !! », des « procès perdus » malgré les preuves, des administrations « tatillonnes », une marginalisation « incompréhensible » ; combien de citoyens se sont « suicidés » sans raison, que de « dépressions nerveuses » dans notre si beau pays.

    La confiance ne se décrète pas, elle s'acquiert tous les jours, et notre culture gangrénée par un système de corruption généralisée risque bien de déboucher sur une décomposition nauséabonde. Il faut cesser de calculer des richesses selon les valeurs prônées par les beaux quartiers, mais le faire selon les usages du plus grand nombre. L'Égalité et la Fraternité ne sont pas des valeurs que l'on développe pendant les sermons, quelque soit le jour, selon les choix religieux, ce sont des besoins fondamentaux, comme le pain, le sommeil, la santé. Et dans ce domaine de calculs, les classements de la France sont ceux d'un pays en voie de sous-développement avancé, d'un pays qui recule à grande vitesse. Ceux qui se battent le font à contre-courant, l'avenir leur rendra raison, de toute manière, ils n'ont pas le choix, si nous voulons espérer que de nouvelles générations fassent cesser la gabegie actuelle. Avons-nous atteint le fond, rien n'est encore sûr, à voir les négociations entre clans que chaque nouveau scandale apporte.

  • Compromission

    De la compromission

    Peut-être devrions-nous parler de l'intégrité ? Mais il y a tellement de chances de ne pas être compris, qu'il vaut mieux parler de ce que nous voyons :

    Les candidats aux élections présentent des programmes, et normalement en démocratie, ils rendent des comptes à leurs électeurs.

    À ce jour, ces comptes sont surtout des listes d'interventions pour obtenir des financements locaux et une participation aux débats parlementaires qui n'intéresse personne.

    Les débats sont surtout centrés sur de grands thèmes émotionnels destinés à cacher la faiblesse des programmes électoraux.

    Pour aider nos candidats, il y a longtemps que des explications leur sont demandées par les citoyens sérieux sur leur implication personnelle dans l'application de ces programmes. Mais cette implication ne concerne que la vie publique. Il y aurait, paraît-il, une sphère privée au sein de laquelle un candidat tout ce qu'il y a de « bien sous tous rapports », « propre sur lui », et irréprochable, pourrait se livrer à des excès qui ne doivent pas être dénoncés.

    Or, il serait très instructif de voir comment dans la vie de tous les jours un individu se comporte lorsqu'il n'est pas candidat.

    Tel qui laisse ses enfants être élevés par les grands-parents, et fait de grands discours sur l'éducation, tel qui dénonce les investissements à l'étranger et qui possède des pieds à terre uniquement dans d'autres pays, tel soutien du syndicalisme qui exploite ses secrétaires ou ceux qui l'accompagnent en en faisant de réels esclaves.

    Et nous pouvons continuer, que ce soit pour les élus ou les hauts fonctionnaires bon chic, bon genre qui gèrent les services sociaux grâce à une cohorte de secrétaires, de chauffeurs, de gardes en tous genres, ce qui réduit quand même tous les budgets, n'oublions pas ceux qui respectent tellement les procédures qu'ils ne peuvent travailler que durant les plages définies par le règlement, ont besoin de suivre régulièrement des séminaires et des formations durant lesquelles bien sûr, il n'est pas possible de les déranger.

    Je passe sur les petits travers divers et variés, des apéros indispensables aux divagations de mœurs beaucoup plus élaborées, qui vont jusqu'aux fêtes « berlusconiennes » !!!! Si vous avez travaillé dans le tourisme, vous avez certainement vu passer des quantités de courriers privés postés au frais du contribuable et pendant le service !!!

    Le mélange des genres est permanent, et les dictateurs et chefs maffieux ont compris depuis longtemps que les dirigeants politiques de notre démocratie sont plus soucieux de leur confort et de leur carrière que de la réussite de la République. Et de ce fait, ils se font fort de flatter toutes les petites faiblesses que des services spéciaux vont jusqu'à rechercher et lister afin de permettre de faire de la corruption le mode de fonctionnement courant de la démocratie française. Celui qui ne comprend pas ces « arrangements » est une personnalité « psycho-rigide » qui relève de la psychiatrie.

    C'est ainsi que l'Internationale Socialiste accueille de nombreux dirigeants au mains ensanglantées, qui d'ailleurs sont plus souvent accueillis dans des conditions que la morale réprouve que dans des buts de faire progresser les Droits de l'Homme.

    Être intègre et respecté n'a aucun intérêt lorsqu'il s'agit de réussir une carrière, il est plus important d'avoir un bon carnet d'adresses pour éliminer les gêneurs. C'est cette méthode qui fait que nous ne savons plus à qui adresser nos suppliques, puisque notre situation est la conséquence directe de ces comportements sulfureux que tout concourt à nous montrer comme étant la norme.

    Un homme politique doit avoir un train de vie, et non des convictions, un fonctionnaire qui fait carrière doit flatter sa hiérarchie pour pouvoir se servir dans l'assiette au beurre, c'est-à-dire occuper les bons postes, ceux qui fournissent le meilleur rapport fatigue/revenus.

    À partir de ce constat que nous pourrions développer pendant des pages, avec des noms, des exemples, nous pensons qu'il faut insister « lourdement » sur les évènements qui peuvent disqualifier un politique et ne jamais oublier de mettre en évidence les irrégularités qui constituent des détournements de fonds publics, des abus d'autorité, des forfaitures que les fonctionnaires de base n'ont pas le droit de dénoncer, alors que ce genre de faits devraient figurer sur des cahiers de doléance ouvert en permanence dans les mairies et les lieux publics.

    La constitution comporte des références à des Droits que le monde politique et financier et l'administration s'ingénient à nous empêcher d'exercer. Il faut donc « sans cris et sans haine », mais avec « fermeté et abnégation » rappeler en tous lieux et tous temps que l'Histoire de la France s'écrit plus avec les actions des bénévoles qu'avec les contorsions des dirigeants ; les mensonges destinés à réécrire l'histoire ne peuvent cacher la vie de tous les jours de ceux qui soufrent de la faim et du froid, les élucubrations des salons parisiens ne peuvent cacher la misère intellectuelle de nos dirigeants. Entre les petits fours, la crise de foie, l'obésité, les maladies cardio-vasculaires, les vacances, les discours, comment voulez-vous qu'ils trouvent le temps de s'occuper du peuple ???

    Et pourtant, mesdames, messieurs les candidats aux élections, la mission qui vous est confiée est d'une autre trempe, il s'agit de veiller à ce que la République diffuse des valeurs que le Parlement a entériné, il s'agit de surveiller l'usage des fonds publics, au bénéfice de tous, et surtout de ceux qui sont dans le besoin, il s'agit d'empêcher que la machine administrative ne se grippe. En un mot, comme en cent, il s'agit de toujours remettre l'ouvrage sur la table.

    De ce fait, lorsque des groupes de citoyens se forment en association pour dénoncer des incuries, le moins que puissent faire les élus et les fonctionnaires est d'écouter et de vérifier la véracité des faits dénoncés, car il en va de l'avenir de nos institutions. C'est le présent qui construit l'avenir, et le bien-être d'une population ne se mesure pas au nombre de véhicules des déplacements ministériels, ni au budget des petits-fours, a contrario, les queues devant les associations d'aide humanitaire devraient servir de « méthodes d'alerte » pour imposer des changements dans les services dits « publics ».

    De ce fait, les querelles entre vautours sur la répartition du caviar et des truffes ne nous concerne pas. Elle met seulement en évidence que les appétits de pouvoir et d'autorité sont le seul rapport de force entre ces individus, et qu'ils ne se préoccupent que bien peu des problèmes qu'ils sont censés résoudre, et qui sont la justification de leurs ressources. Ils se servent dans nos poches et se battent entre eux, nous n'existons donc pas pour eux, il serait temps que cela cesse.