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La Vème République au ban des Nations

 Je vous conseille d'aller lire sur le site du Comité des Droits de l'Homme de l'ONU son dernier rapport accablant sur notre République.

La Vème République au ban des Nations.

 

Le dernier rapport du Comité des Droits de l'Homme de l'ONU est encore plus précis que le GRECO il y a quelques mois.

 

« Le Comité est préoccupé que l'État partie (la France) manque aux obligations qui lui incombent en vertu du Pacte et du premier Protocole facultatif s'y rapportant de prévoir des recours utiles pour les victimes en cas de violation des droits énoncés par le Pacte, en application des constations adoptées par le Comité,... »

 

« Le Comité regrette ...qu'en dépit des engagements pris lors de l'examen périodique universel en 2008, l'État partie (la France) a finalement décidé de ne pas revenir sur … les réserves et déclarations interprétatives qui restreignent … le champ d'application du Pacte ».

 

La France « devrait réexaminer ses déclarations interprétatives et ses réserves en vue d'en réduire sensiblement le nombre et d'assurer l'application effective des dispositions du Pacte ».

 

La France « devrait réexaminer sa position concernant la reconnaissance officielle des minorités ethniques, religieuses ou linguistiques ».

 

 

Il y en a huit pages que je ne vous détaille pas, mais que je vous conseille d'aller lire sur le site du Comité des Droits de l'Homme de l'ONU.

 

 

En particulier, dans l'intérêt du respect du Droit International, vous penserez certainement qu'il faut diffuser ce rapport, puisque le Comité se plaint que la France ne diffuse pas auprès de ses ressortissants les informations et conseils qu'elle émet.

 

 

Cette constatation renforce l'information déjà donnée que nos haut-fonctionnaires et nos carriéristes de la politique se sont taillé un fromage au sein de la République auquel ils s'accrochent comme des rats.

 

 

Prenons exemple sur la réforme des Régions dont aucune des dispositions n'est conforme aux règles internationales signées dans le cadre du Comité de l'ONU.

 

 

Nos constitutionnalistes ne sont donc pas là pour faire évoluer nos institutions dans le sens que nous montrons sur le plan international. Il y a donc incompétence, tromperie, atteinte aux principes républicains, obstruction aux principes du droit, tous les ingrédients d'une dictature colonialiste appliqués sur le territoire même de la République. Les risques que les excès et les débordements empirent sont évidents et ce n'est pas en ruinant par des amendes, des frais de procédures, et des « colocations en prison » que le nombre des mécontents va diminuer.

 

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