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justice - Page 2

  • Accident ou Catastrophe, de qui se moque-t-on ?

    Une fois de plus, les "experts" montent au créneau, ce n'est pas une "catastrophe", seulement un "accident" ... Parmi ces "experts", lequel osera faire ce genre de déclaration sur place, devant les militaires et les civils qui sont intervenus sur les sites japonais, et surtout devant les familles, lequel osera mettre une combinaison et rester sur place aussi longtemps que ceux qui sont en train de se sacrifier, parcequ'ils font passer leurs familles et les enfants des autres avant leur propre avenir. Car ce sont les mêmes experts qui, devant les tribunaux français, refusent les pensions d'invalidité aux employés français qui ont été irradiés dans les centrales françaises, uniquement au titre de l'entretien courant, dans le cadre duquel le risque n'"existe pas".

    Que ces individus, car ils ont perdu leur citoyenneté, en raison de la mise en danger des populations civiles, acceptent donc de faire ces travaux sans danger, qu'ils montrent l'exemple, au lieu de se terrer dans leurs salons et leurs congrés, nantis de revenus qu'ils ont extorqués grâce à leurs mensonges. Comment peut-on oser déclarer, devant les caméras, que les fonctionnaires qui contrôlent le nucléaire n'ont aucun intérêt à mentir, lorsque l'on connaît les FALSIFICATIONS faites pour fournir le MOX, aujourd'hui en cause à FUKUSHIMA. Qui peut oser parler d'honnêteté, lorsque l'on connaît de l'intérieur les trafics permanents que cachent toutes les armées du monde.

    Le Droit prévoit la poursuite des responsables de "crimes contre l'Humanité", il va être temps d'appliquer ces règles aux apprentis sorciers du nucléaire, puisque leurs victimes se comptent par centaines de milliers, pour ne pas dire par millions. Et tout cela par soif de pouvoir, soif de puissance, des ambitions mesquines en fait, qui sentent plus le besoin du psychiatre ou du psychologue que l'aura de l'organisateur de talent. Toute activité humaine est porteuse de risques, mais lorsque le risque ressemble à l'explication donnée au kamikaze pour qu'il ne soit pas seul à mourir, il y a des questions à se poser !! "Le retour d'expérience" que l'on nous annonce ne fait pas sérieux. Les budgets nécessaires pour s'occuper des conséquences à long terme sur les populations des différents "accidents nucléaires" du passé récent sont dérisoires, puisqu'il faut se battre tous les jours chez nous, et cela n'avance pas, ... ne parlons pas des soins autour de Tchernobyl ; Il faut donc mobiliser les citoyens sur deux points précis :

    - prendre en charge les conséquences médicales des décisions résultant du nucléaire passé ;

     - développer des jurisprudences judiciaires fermes contre les responsables de ces décisions mettant en cause la santé des populations civiles partout dans le monde (car les nuages n'ont pas d'adresse, !!!) ;

    Ces deux décisions de principes sont le b-a-ba du citoyen responsable, quel que soit son pays d'origine, et devraient permettre de fédérer les peuples au-delà des divergences de l'Histoire. Ceux qui veulent déplacer des montagnes doivent commencer par déplacer les pailles dans leurs yeux, il ne s'agit pas de faire semblant, il s'agit d'agir et de se prendre en charge pour contrer les irresponsables de tous les pays.

    L'avenir ne passe pas par le développement des installations nucléaires actuelles, ces installations servent des ambitions militaires irresponsables, car le nucléaire n'équipera jamais les polices, dont la justice a besoin. Que la police puisse arréter les fauteurs de troubles, y compris dus au nucléaire, et que la justice puisse enquêter sur les méthodes utilisées pour justifier leurs agissements. Il est bien évident qu'il y a des individus haut-placés qui tomberont alors bien bas !!! Assez de zones dans le monde sont déjà gelées en raison d'irradiations, que les partisans du nucléaire aillent s'y installer, et qu'ils cessent d'imposer aux autres leurs propres turpitudes, c'est quand même la base de la liberté et de l'égalité.

    Pour le moment, il ne nous reste qu'à compter une fois de plus les victimes, et à demander à la Justice de faire enfin son travail.

  • ERREUR

     

    08/12/10

    L'erreur peut avoir plusieurs origines :

    Selon les circonstances, il peut s'agir d'une erreur involontaire ou d'une erreur volontaire ;

    L'erreur volontaire est la plus indiscutable, lorsqu'il s'agit de manifestation de la vérité, elle porte tort à tous les intervenants :

    La première, la victime qui se trouve dans une situation insoutenable, et inadmissible ;

    La société, qui se trouve lésée au plus profond d'elle-même, puisque c'est son existence même qui se trouve remise en cause ;

    Le responsable de l'erreur crée une situation instable, puisqu'il ne peut pas justifier ses actes, même vis à vis de lui-même, puisqu'il est obligé de centrer toutes ses actions par rapport à un intérêt qu'il devra modifier et recomposer chaque fois que la société le remettra dans des situations identiques. Il est donc une proie pour ceux qui exploitent les failles de l'organisation sociale.

    La création de la Justice est donc un besoin inhérent à l'existence humaine afin d'inscrire l'Humanité dans le temps. Certaines sociétés estiment que tous les éléments de la Nature sont concernés par cette exigence de Justice.

    Les méthodes ont évolué avec le temps, tant dans les moyens de constater les erreurs que dans les méthodes utilisées pour rétablir les équilibres détruits ;

    Notre Droit considère que c'est la société qui subit le plus grave préjudice et c'est la raison d'être du ministère public. De ce fait, cette fonction est primordiale dans l'organisation de notre société, et le fait d'y commettre des erreurs est une situation lourde de conséquences pour tous.

    Il est bien évident que de nombreuses activités encouragent les erreurs, afin d'avantager les uns ou les autres ; le contrôle des activités liées à l'acquisition de droits dans un monde dominé par des groupes organisés est donc la cible privilégiée de ceux qui considèrent que l'erreur est le moyen le plus simple de s'arroger quelque chose. La société a donc besoin d'être extrêmement stricte sur le respect des obligations liées à ces activités et ces fonctions.

    Que constatons-nous dans la réalité actuelle : en gros, ne possédez jamais quelque chose qui puisse faire envie à un groupe organisé. En effet, ce groupe cherchera comment vous amener devant un intermédiaire qui lui sera acquis et qui vous donnera tort, grâce à une « erreur » plus ou moins dissimulée.

    Rapports d'expert, documents enregistrés, données recueillies, informations erronées, témoignages détournés, la mauvaise foi peut être partout lorsque les auteurs bénéficient de l'impunité.

    Or, et c'est ce qui fait la force des groupes, l'individualisme généré par la société technicienne fait que l'individu ordinaire s'appuie sur l'organisation de l'État pour tout, organisation centralisée volontairement afin d'isoler toujours plus. Les groupes de pression ont développé des stratégies adaptées à l'état qui est le notre, qui leur permet d'exploiter l'erreur, bien sûr aux dépens de la victime, mais aussi aux dépens de la société elle-même qui se trouve gangrénée de l'intérieur, et ne peut régénérer les forces qui lui manquent alors. Une société déséquilibrée tend à toujours plus de déséquilibres, jusqu'à basculer dans la pagaille et la guerre civile.

    La victime, au lieu d'être prise en charge dans le cadre judiciaire prévu par le système, peut donc se trouver totalement isolée face à des intervenants rodés et organisés, installés aux postes clefs, pouvant aller jusqu'à décider de la disparition d'un témoin gênant. En effet, une victime reste une preuve de la duplicité de nombreuses personnes, et c'est donc un témoin gênant, qu'il ne faudra pas hésiter à ridiculiser, à déstabiliser, à effacer des sphères crédibles. L'existence de professions qui s' autorisent à se déclarer exemptes d'erreurs est une situation que la collectivité actuelle n'a jamais accepté, et les lois en sont la preuve, mais les faits réels sont bien différents puisque les plaintes peuvent être acceptées ou refusées, puisque les enquêtes peuvent être dirigées, puisque la victime peut se voir imposé celui qui la représentera, peut se voir même écartée de la procédure. Il y a donc des situations étonnantes, qui ont été médiatisées pour certaines, sans que cela ne gêne les groupes en question, dont le seul souci est alors de savoir avec qui négocier, puisque tout s'achète et se vend, lorsque l'on suit leur logique destinée à faire de l'erreur une méthode de pensée.

    Il est donc nécessaire pour assurer la pérennité de notre organisation sociale de soutenir ceux qui ont été victime d'erreurs volontaires et de leur permettre d'avoir la force de se battre contre ceux qui détournent nos institutions.

    Les cas sont multiples de biens détournés, de fonctions attribuées par complaisance, de marchés frauduleux, de passe-droits, de vols, qui résultent d'erreurs visibles et dont la population n'ose pas se plaindre. Réagir est un droit et un devoir, et le nombre croissant des condamnations pour « outrage à magistrats » en constitue un exemple de plus, visible et évident. Notre pays régresse dans les classements des moyens mis à la disposition de la Justice, c'est une autre preuve de la volonté d'empêcher le retour au bon fonctionnement des institutions, mais il n'existe pas d'alternative au respect de la Vérité, si ce n'est le chaos.